1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1066)


    Datte: 15/07/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... soirée restaurant ayant été très chaude et moi pas assouvie, le feu du plaisir couvait sous les cendres en mon corps et il ne me fallut que très peu de temps pour relancer l’incendie de l’excitation qui maintenant se déclarait ouvertement. Tandis que le sodomite me pistonnait savamment, tenant ma chatte ouverte et béante, l’autre personne, placée devant, me pinçaient toujours les tétons, je le sentis me prendre par devant à son tour, et me voilà utilisée des deux côtés en même temps, prise en sandwich… Je sentais en moi les deux verges, au travers de mes muqueuses, aller et venir en cadence sans aucun ménagement comme deux pistons dans une culasse, mes fesses remuaient, tant les coups de reins de l’enculeur étaient puissants, me faisant dire : « Il va venir vite celui-là » mais non, il savait se retenir et poursuivait ses à-coups puissants, profonds, pénétrants jusqu’à faire claquer ses couilles contre mes fesses, tandis que celui de devant en faisait de même question puissance de pénétration. Et donc des deux côtés, les coups de reins étaient forts, aucun arrêt, puissants au point que je commençais d’avoir mal au pubis… Le sodomite jouit le premier mais resta en moi un moment en coït profond, bien planté, suivi du second par devant… Ils sortirent de mon corps en même temps. J’entendis l’un d’entre eux, jurer et cracher et se toper les mains, puis les pas s’éloignèrent et le silence retomba.
    
    Un silence de mort, lourd et pesant. Les foutres coulaient entre mes cuisses et ...
    ... de mon cul, je tremblais de froid et de manque car je n’avais pas eu le temps, ni l’autorisation de jouir… Le temps passait, lentement, très lentement, quand soudain, à nouveau des bruits de branches cassées, puis des aboiements… Des gens arrivaient, pensais-je… Les aboiements se rapprochaient… Je prenais peur à nouveau…
    
    - C’est quelqu’un ? Dis-je timidement ?
    
    Pas de réponse. Tout d’un coup, très proche de moi, je sentis quelque chose m’effleurer, un animal, oui c’est ça, un animal… un chien errant, pensais-je … mon dieu, je me mis à crier de toute la force de mes poumons
    
    - Au secours !
    
    Un coup de fusil répondit à mon appel, ce qui fit détaler l’animal, maintenant, j’en étais sûre c’était bien un animal.
    
    - Au secours, Monsieur, qui que vous soyez…
    
    Mais rien à nouveau. En pleurant, je criais
    
    - Monsieur, s’il vous plait, venez à mon secours…
    
    Rien, abominablement rien, pourtant ce coup de fusil n’était pas du au hasard… il y avait bien quelqu’un pas loin, me disais-je, … les crampes m’envahissaient, je m’abandonnais, mes forces déclinaient… Je n’entendis plus rien… jusqu’au moment où je fus prise là, comme ça, venant de nulle part, d’un coup, sans rien n’avoir entendu venir, juste sentant un gros sexe s’enfoncer dans ma chatte, se mettre en marche sans aucun ménagement encore une fois… avec force de nouveau, sentant les coups de pubis de la personne cogner contre le mien écrasant mon clitoris, les couilles battaient sous ma chatte contre mon périnée, en ...
«1...3456»