1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1066)


    Datte: 15/07/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... En effet, Il ne résista pas. Il lâcha un long râle sonore de plaisirs et déchargea dans ma bouche. Une giclée d'une pression inouïe m'inonda l'arrière gorge. Animé de spasmes, il n'en finissait pas d'inonder mon gosier par saccades des flots de spermes chauds. Ma bouche était pleine de ce liquide blanchâtre et visqueux. Il fallait que j'avale tout de lui. C'est Le Maître et je voulais tout de Lui car avaler Sa semence était pour Moi plus qu’un honneur, c’était un privilège. Il me regarda avec tendresse par la vision de ce spectacle et vit disparaitre peu à peu la ‘mousse blanche’ de ma bouche et l’avaler. De ma langue, je léchais le contour de mes lèvres, sans rien laisser perdre de son divin sperme. Il est bon. Il est chaud. Il est en moi. Il me brûle. Humm… ! J’entrepris ensuite de lui nettoyer entièrement de ma petite langue de chienne, toute Sa verge qui mit du temps à se ramollir et je ne perdis aucune goutte de son précieux nectar …
    
    Pendant ce temps où je nettoyais Sa noble queue, il me travaillait les tétons avec délicatesse, mais ce traitement pour léger qu’il était, me renvoyait à nouveau vers ce que j’avais connu peu d’heures auparavant et qui ne m’avait pas calmée entièrement. Déjà, je gloussais encore excitée par la fellation que je venais d’effectuer :
    
    - Hmmm, c’est bon Maître ! Ouiii merci Maître de m’exciter ainsi ! Ohhhh ! Maître, vous me donnez encore envie. Merci de me traiter ainsi …
    
    La Rolls-Royce entrait dans un sentier caillouteux arboré de ...
    ... grands arbres, et s’arrêta dans une clairière. Le ciel était étoilé, la lune brillante, signe que la nuit serait fraîche, les étoiles scintillaient. Walter et Le Noble se regardaient par rétroviseur interposé quand Maître fit un signe à son Majordome. Celui-ci se leva, sortit de la voiture, fit le tour et m’exigea de sortir. Regardant le Châtelain, Celui-ci confirma l’ordre de Walter. Il me conduisit vers la forêt, nous nous éloignions de la voiture dont le moteur tournait encore. Monsieur le Marquis prit le volant et démarra, un tournant plus loin et le véhicule disparut. Je peinais à suivre le Majordome avec mes escarpins, tenue par la laisse que je n’avais pas quittée de la soirée. Nous marchâmes ainsi quelques centaines de mètres et arrivâmes devant une chaumière, éclairée. Walter accrocha la laisse à une branche d’arbre et me banda les yeux. Je restais dehors, il ne faisait vraiment pas chaud. J’entendis des voix, mais ne comprenais pas ce qui se disait. La voix du Majordome m’était connue mais pas l’autre, rocailleuse et d’accent méridional, je présumai. Des « Pécaïre ou peuchère », arrivent à mes oreilles, sorte de patois du Sud entendu à Montpellier quelques années plus tôt. Puis, je crus comprendre ou sentir que le Majordome passait pas loin de moi, son pas je le connaissais, mais Walter ne prit pas la laisse. Je restais ainsi, j’attendais mais rien ne se passait. Je commençais à avoir froid, le temps aidant, et peur aussi… Puis, plus aucun bruit, rien. Je restais ...
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