1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1066)


    Datte: 15/07/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... pendant un temps que je trouvais fort long. Mais rien ne se passait, je me sentais comme abandonnée en pleine forêt. Soudain j’entendis des bruits de pas, des pas de grosses chaussures, des branchettes craquaient… On se saisit de la laisse que l’on tira un peu, j’avançais, les yeux bandés, demandant timidement
    
    - C’est vous Monsieur ? (espérant m’adresser à Walter)
    
    Pas de réponse. Nous marchions et j’entendis ces mots :
    
    - Boudi Madame, faites gaffe ça glisse ici !
    
    C’était la voix méridionale entendue plus tôt, j’étais aux mains d’un inconnu qui m’emmenait où ? On s’arrêta.
    
    - A poil, la Madame, dit la voix !
    
    - ??? Ici ??? répondis-je, timidement
    
    - Et oui, la p’tit dame, ici.
    
    J’enlevais ma robe de soirée mettant mes mains sur mes seins. Je sentis que la laisse me tirait vers l’avant, j’avançais, puis on me prit le poignet droit, l’attachait à une corde, on tira dessus ce qui me fit relever le bras très haut, et attachait l’autre poignet aussi haut. Il en fut de même avec mes chevilles écartées auparavant, puis plus rien… J’entendis les pas s’éloigner, puis s’éteindre… De longues minutes passaient, rien… une heure peut-être ?… Je grelottais. Je pleurais même de peur, vraiment de peur... Puis soudain, j’entendis à nouveau des bruits de branches, des pas, puis à nouveau plus rien. Je tentais de me tourner autant que mes liens me le permettaient, dans le sens des bruits, mais rien, je n’entendais plus rien…. Encore, un bruit, très léger, au milieu des ...
    ... hululements d’une chouette, de bruits de rats courant sur les feuilles, rapides à moins que cela ne soit des bruits d’autres animaux… Soudain, sorti de nulle part, une main me toucha qui me fit à la fois sursauter et crier :
    
    - Ahhhh !
    
    La main s’enleva, puis se posa à nouveau sur mon sein droit, le caressant, le soupesant mais sans un mot, rien. L’autre sein subit les mêmes attouchements, tandis que le téton premier touché se voyait pressé, vrillé, pincé avec force et sans ménagement. Malgré la douleur due à la brutalité des pincements et du froid, mon clitoris réagit immédiatement, ce qui me fit cambrer les reins. A cet instant, d’autres mains se posaient sur mes fesses, et étaient écartées à leur tour sans égard. Ainsi ouvertes, je sentis un sexe se poser sur ma rondelle très humide par la soirée restaurant, rondelle de laquelle s’échappait du foutre que je sentais et tout d’un coup, d’une poussée violente, je fus enculée comme ça sans préambule, d’un coup, d’un seul et rapide, puissant. Le gland entré jusqu’au milieu de la tige, ensuite deuxième poussée et c’est l’intégralité du sexe inconnu qui se trouva en mon fondement. Pendant que mon enculeur s’accrochait à ma taille, me maintenant par les hanches, en même temps il travaillait mon clitoris de ses doigts baladeurs, inquisiteurs, écartant ma vulve, il s’agitait fortement derrière moi, le sentant se reculer pour mieux s’enfoncer toujours aussi brutalement dans mes entrailles maintenant en feu d’excitations. En effet, la ...
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