Piège d'enfer - Chute et volupté
Datte: 29/01/2018,
Catégories:
fh,
forêt,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
pénétratio,
conte,
Auteur: Xéna 75015, Source: Revebebe
... envie est palpable, elle atteint son paroxysme. Soudain et dans un cri inhumain, il déverse en moi sa jouissance tel un geyser. Son sperme se mélange à ma cyprine. Nous restons ainsi enchevêtrés, pour reprendre notre souffle et je l’entends me murmurer :
— Merci ma sauvageonne…
Repus et rassasiés, nous sombrons dans un sommeil profond et réparateur, nos deux corps ne faisant plus qu’un.
XÉNA
CHUTE ET VOLUPTÉ
Après une soirée faite de plaisirs, cet homme dans la cinquantaine, grand et élancé, a du mal à ouvrir les yeux car il n’a plus l’habitude de passer des nuits presque blanches.
Il regarde autour de lui et s’accorde encore quelques minutes. Il remonte la couette imprégnée à la fois du parfum ambré tirant sur le magnolia de sa partenaire et de leurs odeurs corporelles mélangées, reliefs d’une nuit de délice assouvie avec frénésie et fougue tant leurs désirs étaient intenses.
D’une main hasardeuse, il caresse son torse velu descendant progressivement sur son membre au repos rendu sensible par tous ces excès nocturnes
Il se lève un peu chancelant et se dirige vers la salle de bains. Ses muscles endoloris par tant de fantaisies freinent sa progression vers la douche. Au passage, il regarde son visage dans la glace.
Sa mine de papier mâché lui fait soudain comprendre que l’on ne peut pas être et avoir été et qu’avec l’âge la récupération physique devient plus lente.
L’eau chaude fouettant son corps réveille un peu ses sens. Il commence à se ...
... sentir mieux.
Il décide d’aller s’oxygéner la tête et le corps pour retrouver sa forme olympique habituelle. Prenant son vélo, il règle la selle et le pédalier en mode relaxe pour démarrer en douceur et détendre ses muscles. Il part droit devant lui, sans but précis.
À la croisée d’un chemin, il décide de rentrer dans une forêt calme et profonde pour respirer toutes les essences boisées à pleins poumons : odeur de la mousse gorgée de rosée matinale, celle de ces fougères verdoyantes et des plantes environnantes.
Ses muscles enfin dégourdis, il file un train rapide. Regardant ces magnifiques sous-bois, il savoure ces instants de pure beauté. Son attention s’est relâchée et il n’a pas le temps de freiner lorsque son vélo percute avec fracas un monticule de pierre dû à un éboulement de la paroi rocheuse.
Son corps projeté en avant rebondit avec lourdeur. Ballotté, secoué, il roule sur le sol. Douloureusement, il rampe vers un arbre majestueux où il s’adosse pour reprendre ses esprits.
Complètement disloqué, son vélo vient se coucher à deux pas de lui. Sa vue se brouille, son souffle est court, sa tension monte et il tombe dans un semi-coma et perd conscience.
Devant lui, au travers des fougères, une nuée vaporeuse prend consistance et se transforme en une créature de rêve, nue sous une robe longue, vaporeuse et transparente. Il distingue ses hanches généreuses, ses longs cheveux descendant sur une chute de reins vertigineuse, ses longues jambes fuselées légèrement ...