1. Piège d'enfer - Chute et volupté


    Datte: 29/01/2018, Catégories: fh, forêt, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation pénétratio, conte, Auteur: Xéna 75015, Source: Revebebe

    ... poste d’observation, commandité par une ONG, pour surveiller le déboisement sauvage, sauvant ainsi ces forêts en voie de disparition.
    
    Solitaire et célibataire endurci, il préfère être en phase avec la nature et vivre dans une cabane frustre mais confortable, plutôt que d’être enfermé en centre-ville, dans une chambre d’hôtel impersonnelle et bruyante.
    
    Satisfait mais surpris aussi par cette prise peu ordinaire, ce filet servant en général à capturer des cochons sauvages et autres gibiers, il tire sur une corde et j’atterris à ses pieds en position de prière. Il se baisse et me soulève avec douceur. D’un bras il enserre mon corps et de l’autre il attrape une liane pour nous faire traverser les airs et rejoindre un énorme baobab où se trouve son antre.
    
    Encore sous le coup de la colère, et malgré ma fatigue physique, mon caractère bien trempé reprend le dessus un court instant. Je fonce sur lui et lui assène des coups lui montrant ainsi mon mécontentement d’avoir été piégée de la sorte, comme une vulgaire truie.
    
    Riant, il m’attrape et me plaque contre lui. Je me débats comme une damnée mais en vain. Il est beaucoup trop fort pour moi. Sans lâcher son emprise, il saute avec moi du haut de l’arbre vers le lac qui se trouve en dessous et nous atterrissons dans une eau chaude et limpide.
    
    Je remonte à la surface pour reprendre ma respiration et, encore sous le choc de cet impact, je nage doucement pour apprécier cette eau douce sur mon corps en regagnant la terre ferme. ...
    ... Calmée après ce plongeon imprévu et forcé, je ressens une grande lassitude qui envahit mon corps frissonnant et endolori.
    
    Sidérée de le voir déjà sorti de l’eau, je sens une odeur de cuisson qui réveille mes papilles. Je m’avance discrètement cachant mes seins d’une main et mon intimité de l’autre pour récupérer mon sac de voyage resté au sol durant notre première ascension et enfiler un tee-shirt mi-long, cachant ainsi mon intimité.
    
    Je m’approche silencieusement et un peu honteuse de ma conduite envers cet homme qui pour l’instant n’a fait que son devoir d’hôte en me proposant son hospitalité. Une table en bois brut est dressée succinctement sous un abri de fortune en cas de pluie subite. Deux lampes à pétrole éclairent la table car le jour commence à décliner, ce qui donne une ambiance chaleureuse.
    
    Il s’approche de moi avec son sourire ravageur et me dit :
    
    — Tu as faim, je présume après toutes ces péripéties ?
    
    Je réponds « oui ! ». Souriant à mon tour.
    
    — Assieds-toi, ma belle et sers-toi, je t’en prie !
    
    Un plat de viande grillée ainsi que des légumes de la région sont déjà posés. Je salive malgré moi et ne peux résister plus longtemps. Je prends un peu de chaque chose pour goûter et là, je me régale. Un verre de vin à la main, il me dit :
    
    — À la tienne, ma belle, et bon appétit !
    
    Je lui réponds :
    
    — Merci. Vous de même, Monsieur !
    — Non, non, pas Monsieur ! Je me présente, je m’appelle Charles et vous, ma belle ?
    — Je m’appelle Anne-Sophie et ...
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