1. Cheat-Code (12)


    Datte: 14/07/2018, Catégories: Divers, Auteur: Clover, Source: Xstory

    ... habits de flics. Et attention, pas le truc bas de gamme pour mettre du piment dans la soupe au zizi, mais LE déguisement officiel de la police nationale. Soit ça, soit ils avaient fait fort niveau accessoire vu le poids du flingue aux holsters de ma ceinture. D’ailleurs, j’étais en train de déboucler celle de la jolie flic blonde – non le fiancé, bon sang ! – sans ménagement. Son pantalon, alourdi par l’arme, et glissa le long de ses jambes fuselées, seulement stoppé par ses rangers qu’elle déchaussa bien vite.
    
    Oh bon sang, elle ne portait rien en dessous. Je ressentis l’excitation du fiancé à la vue de la vulve parfaitement glabre lovée entre ses cuisses entre-ouvertes.
    
    — J’ai suivi tes conseils, susurra la flic en glissant un doigt le long de son entrejambe. Tu sais que je suis prête à tout pour te plaire.
    
    Sans lui répondre, mon étrangleur acheva de la désaper. Il souleva son petit polo bleu marine, et fit de même avec le soutien-gorge de dentelle en dessous, qu’il laissa en surplomb de la petite paire de seins qui en avait surgi, bien ferme. De ses grosses paluches, il saisit les tétons bruns au centre de larges mamelons presque transparents, et les martyrisa sans ménagement. Il tirait dessus, les pinçait, les tordait, déformant la petite poitrine telle la plus érotique des pâtes à modeler.
    
    Je remarquai alors que les sensations me parvenaient atténuées, comme au travers d’un préservatif mental. Cela ne rendit pas cette séance de pelotage par souvenir ...
    ... interposé moins vivifiante pour mes sangs, juste moins gratifiante que la réalité. L’absence d’Interface autour de ma – sa – compagne contribuait à me faire sentir tout nu.
    
    — Si tu es prête à tout, murmura le fiancé à l’oreille de la jolie flic. Tu sais ce que j’attends.
    
    La blonde sourit franchement, plus excitée que jamais. Elle recula sans se retourner, et j’admirais le superbe balancier de ses hanches. Lorsque ses fesses mordirent dans le flanc de la table, elle s’y allongea sur le dos, releva ses jambes avec l’agilité d’une gymnaste, et écarta grand les cuisses. De ses mains, elle saisit ses fesses pour les écarter. Ce geste ne laissait aucun mystère sur son intimité. De sa vulve luisante à la fente grande ouverte, jusqu’à l’entrée ourlée de brun de son anus.
    
    Je sentis les mains du fiancé s’acharner sur son propre pantalon. Il en extirpa son sexe, et je retins un juron. Le saligaud était bien mieux membré que moi. Pour faire dans la métaphore italienne, si mon zgueg était un spaghetti, le sien était un cannelloni. Bon, j’avoue, j’en rajoute, mais j’ai une excuse : j’étais jaloux comme un pou de la plus stupidement machiste des façons. Je sais, peu importe la taille, toussa, mais la loterie génétique distribue bien mal ses numéros gagnants !
    
    Son sexe en main, le fiancé se glissa entre les jambes écartées. Aussitôt, la flic fit passer ses cuisses par-dessus les épaules de son amant, et je sentis le poids de ses mollets m’alourdir. Mon étrangleur s’amusa à faire glisser ...
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