Haoua, vendeuse de galettes. Première partie : la
Datte: 13/07/2018,
Catégories:
Humour
Première fois
Auteur: proxxx6, Source: xHamster
... nous ! Regarde je suis belle et je suis sûre que je te plais !
Elle vint se placer en face de moi, enleva la serviette qui retenait ses cheveux; ceux-ci, encore humides, s’étalèrent sur ses épaules pour s’arrêter au milieu du dos. Elle était magnifique: sa longue chevelure noire de jais, qui semblait n’avoir jamais rencontré de ciseaux, maintenant libérée de sa tresse, lui donnait la beauté à d’un diamant brut. Elle était heureuse de me voir apprécier.
Elle poussa l’avantage en défaisant le cordon qui fermait la sortie de bain qu’elle portait. En un tour de main, elle la fit descendre le long de ses épaules et de ses bras et la laissa tomber sur le sol. Elle resta ainsi toute nue devant moi, me présentant un corps de déesse, mal nourrie, mais superbe. Elle me montra fièrement ses petits seins hauts perchés, qui pointaient insolemment vers moi. Elle se mit même à les caresser pour accroître l’intensité de mon excitation. Elle les pressait entre ses mains, en me regardant droit dans les yeux, avec un sourire provocateur, fière du résultat sur moi de ses caresses auto appliquées. Elle pouvait lire dans mes yeux toute l’intensité du désir qu’elle m’inspirait.
Je sentais mon sexe, qui avait atteint des proportions énormes, se mettre à frémir. Il voulait sortir du pantalon du pyjama. Il faisait une énorme bosse sur le devant, que Haoua ne pouvait pas voir parce que j’étais assis devant le bureau, en face de l’ordinateur. Mon regard se fixa sur son entrejambe et sur ...
... ses cuisses. Je ne pus retenir un petit râle de désir, à la vue de la touffe de poils noirs qui recouvrait son mont de vénus et descendait de part et d’autre de ses grandes lèvres.
D’habitude, je n’aimais pas les chattes poilues. Mais celle de Haoua rappelaient les chattes de jeunes filles à la fin de leur adolescence. Des chattes qui avaient le pouvoir de décupler mon désir et faisait atteindre à mon sexe des proportions exceptionnelles. C’était certainement mon côté pervers qui accentuait mon excitation, en pensant à tout le plaisir que la pénétration d’une petite chatte poilue et vierge, et la déchirure de l’hymen qui l’accompagnait, allait me donner. J’arrêtai de lutter contre moi-même et tendit la main vers le merveilleux jardin de Haoua. Et à partir de là, je ne contrôlai plus rien. Elle devint la maîtresse du jeu et m’emmena vers les sommets du plaisir et de la jouissance.
Je tendis les bras pour l’attirer vers moi et coller ma tête contre sa poitrine. Je voulais me donner encore un peu de temps avant de sauter le pas et passer de l’autre côté de la ligne rouge. Mes mains se posèrent sur le bas de son dos, qu’elles se mirent à caresser tout doucement, tandis que je posai ma joue droite sur sa poitrine, sans rien faire d’autre que profiter de la douceur de sa peau et de la fermeté de ses petits seins. Je restais comme cela longtemps. Elle ne faisait rien elle aussi, sinon caresser tendrement ma nuque. Elle attendait que je veuille bien, m’occuper sérieusement ...