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Haoua, vendeuse de galettes. Première partie : la
Datte: 13/07/2018, Catégories: Humour Première fois Auteur: proxxx6, Source: xHamster
... rapide. Et elle tirait fortement sur mes cheveux pour obliger ma tête (et ma bouche) à se déplacer plus vite sur sa chatte et ma langue à suivre le rythme. Quand elle arrêta de bouger ses hanches qu’elle avait relevées au maximum, je sus que l’orgasme allait débouler très fort et qu’elle ne tarderait pas à décharger. En effet elle déchargea très fortement, mais en silence. Elle ne dit rien, mais ses gémissements avaient changé de sonorité : ils provenaient maintenant du fond de sa gorge et des ses entrailles. Ils étaient rauques, impudiques et tellement érotiques ! J’aurai aimé contempler le visage de ma partenaire pendant qu’elle jouissait dans ma bouche. J’étais certain qu’elle avait fermé les yeux pour mieux ressentir l’intensité de son plaisir et qu’elle salivait comme une fontaine. Je savais qu’elle n’arrivait pas à contrôler les mouvements désordonnés de sa tête qui accompagnaient sa jouissance. Mais comme j’étais prisonnier des ses cuisses et de ses mains, je devais me contenter de mon imagination. Complètement fourbue par les efforts qu’elle venait de fournir, elle s’affaissa sur le lit, mais refusa pendant plusieurs minutes de relâcher la pression de ses cuisses et de ses mains sur ma tête. Je dus attendre son bon vouloir pour me relever et venir m’allonger auprès d’elle. - Tu es un diable ! dit-elle. Personne ne m’avait jamais dit qu’on pouvait jouir uniquement grâce à la bouche d’un homme. J’avais toujours cru que c’était sale et que c’était réservé aux ...
... déséquilibrés sexuels. - Ça t’a plu ? - Oui ! C’était merveilleux ! Je pense avoir eu un très fort orgasme ! Je n’avais jamais ressenti cela auparavant, en me caressant la nuit dans ma couche ! Comment cela sera avec ton sexe ! Montre le moi ! Je veux le voir ! Toi tu m’as vue toute nue ! Mais moi je n’ai encore rien vu de toi ! Je suis sûre qu’il est immense, si je me fie à l’immense bosse que je vois sur le devant de ton pantalon de pyjama ! Sans attendre, elle lança sa main vers le devant de mon pantalon et se mit à palper mon sexe. Le contact de sa main le fit frémir. Je voulais qu’elle le caresse plus franchement. Je lui pris la main et la forçai à pénétrer à l’intérieur et à le libérer de sa prison de coton. Elle eut une légère hésitation en percevant la chaleur a****le de l’engin et en le sentant battre fortement sous ses doigts. Une fois libre, il se détendit de tout son long et se mit à darder vers le plafond. Elle releva la tête pour mieux le contempler. Je vis ses yeux se voiler et de la salive couler de sa bouche. - Je ne savais pas qu’un sexe d’homme pouvait atteindre cette taille ! Je ne crois pas qu’il pourra entrer dans mon vagin; il est trop petit et étroit. Il va me déchirer et me tuer ! Dis-moi que tu ne me feras pas très mal ! J’ai peur ! - Ne t’en fais pas ! Tu t’habitueras très vite à lui ! Une fois que tu l’auras goûté, tu ne pourras plus t’en passer ! C’est toi qui le réclameras ! Je vais faire attention à y aller doucement ! Tu verras ce ...