1. Le curé du village


    Datte: 13/07/2018, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Emile, Source: Hds

    ... du plaisir à me montrer ainsi. Ce petit corps que je n'ai jamais vraiment aimé me parait soudain désirable. Je traîne à ranger, trousse le surplis, esquisse un pas de danse, tourne sur moi-même, m'imagine être applaudi pour la beauté de ce corps dénudé. Je n'aimais pas mon petit sexe, le voici devenu terriblement joli. Je détestais mes petites fesses, je les imagine désirables. Et l'un après l'autre tous les reliefs de mon corps, qui me paraissaient quelconques et vulgaires lorsque j’étais habillé, ont gagné en valeur en s'offrant au regard sans voile. Là où la honte est passée, le plaisir commence.
    
    C'est donc tout guilleret que je réintègre la sacristie les bras chargés des outils de l'Office. Le curé s'est à nouveau paré de sa fourrure naturelle et me regarde entrer les yeux voilés de désir. Il m'aide à décharger mes mains, m’ôte mon surplis et me prend doucement dans ses bras. Ses grosses pattes velues excitent mes seins, pelotent mon ventre et mon dos, séparent mes cuisses et mes fesses. Sa bouche vorace dévore mes lèvres. Sa langue envahit ma bouche. Tous mes sens sont en révolution. J'aime le frottement de sa fourrure sur ma peau nue. J'aime la force qu'il exerce pour aller dévoiler totalement mon intimité. Ses deux mains écartèlent mes fesses. Je me penche pour lui faciliter la tâche. Un gros doigt humide rentre doucement dans mon cul puis commence à tourner comme s’il voulait en élargir l’accès. Je manque d’air et mes poumons s’emballent. Je hoquette, émets de ...
    ... petits cris et respire bruyamment. Mon amant-agresseur ne s’y trompe pas et augmente son activité. Une main caressante se saisit de mon sexe et de mes bourses. Je suis un prisonnier comblé. Peu de temps après, je me retrouve à plat ventre sur un haut tabouret, les mains cramponnées à ses pieds carrés, le cul offert. Sa large et courte queue entre en moi doucement puis s’agite de plus en plus fort dans mes tripes. J’écartèle mes cuisses et mes fesses pour l’aider dans sa besogne. Les premiers mouvements me paraissent douloureux puis le plaisir s’invite à la fête. Je suis devenu le fourreau de son désir et le réceptacle de sa jouissance, et peut-être bien de la mienne.
    
    Lorsque je sens son foutre chaud s’éparpiller dans mes viscères il étouffe un cri rauque « Que c’est bon, nom de Dieu !». Pourtant il continue à s’agiter dans mon ventre et à me branler fermement et de plus en plus vite en me murmurant des « je t’aime » pathétiques. Je continue à m’exciter et finis par expulser ma semence sur le sol dallé en poussant plusieurs cris suraigus. Mais rien ne l’arrête et je le sens reprendre de la vigueur dans mon cul. Je suppose que mon tortillement sous l’assaut n’y est pas pour rien. Il sort pourtant de moi et me propose d’aller « prier dans un endroit plus adapté ». Quelques secondes plus tard je me retrouve « à l’équerre », bras et tête sur l’autel du chœur, pieds au sol. Il entre en moi à nouveau en récitant une prière en latin et en ponctuant chaque vers par un violent coup de ...