1. Berlin, son histoire, ses vices 5


    Datte: 13/07/2018, Catégories: Entre-nous, Les femmes, Auteur: Charime, Source: Hds

    ... lui, oui, je peux bien être sa chienne. Mais avec toi, je serais si chienne qu’un toubib aurait bien du mal à te reconstruire. Oui, je suis la putain de ma Maîtresse, mais elle, c’est une femme de caractère, une dominatrice, une vraie de vraie, pas une larve comme toi. Comme je te l’ai aussi dit, elle a tous les droits sur moi, les pleins pouvoir, TOUS, alors que t’en as aucun ! Elle, elle peut me prêter, me louer ou même me vendre à des hommes, des vrais. Eux, ou elles, ils vont pouvoir me baiser, me punir aussi et j’obéirais sans discuter. Et tu sais pourquoi, pauvre cloche ? Parce que j’aime ma Maîtresse au-delà du raisonnable ! Mais une larve, tiens, exactement comme toi, ça doit mériter sa friandise. Avec toi, tu vois, j’ai une putain d’envie de t’envoyer te faire mettre par une vingtaine de mecs, ceux que tu appelles pédé en riant comme un imbécile devant tes potes ou les collègues. Pour moi, ils sont des hommes qui aiment des hommes et qui connaissent toute la signification du mot aimer. Toi, tu es tout juste bon pour leur servir de vide couille. Isabelle, ma douce Isabelle, tu as de l’imagination, non ? Alors, imagine ce pourceau, cette larve ridicule enculée et obligée de sucer des dizaines et des dizaines de bites tendues ? Tu sais, Isabelle, on pourrait même imaginer qu’il leur serve d’urinoir. J’imagine très bien la scène, lui à poil, menotté, devant une vingtaine de pédés, comme il les appelle, ce porc ! Bon, tu décides quoi, larve ou dirlo responsable ? ...
    ... Maintenant, si tu n’as rien à ajouter, tu peux aller rejoindre tes poufs de la réception. Je ne les aime pas, je déteste les lèches-culs, c’est suce pet. Sinon, passez une excellente journée, patron adoré. Oh, si tu as encore envie de te prendre un râteau, passe me voir et on en parle. Je ne bouge pas de ce bureau.
    
    - Excellente journée, monsieur le directeur. Ajoute Isabelle sur un ton narquois à souhait.
    
    Le pauvre, il s’est pris la honte de sa vie et devant Isabelle qui souriait, se retenant d'éclater de rire et, qui plus est, totalement dans mon jeu. Humilié, il repart rouge de honte ou de colère, en fait, je m’en tape complètement. S’il avait su que mon dictaphone était en panne. Bref, nous ne le voyons plus de la journée. Par-contre, Isabelle est dans tous ses états. Sa main sous sa jupe, elle se branle sans honte. Je ne peux m’empêcher de lui caresser longuement ses joues. Quand ma bouche se dépose délicatement sur ses lèvres entre-ouvertes, nous nous échangeons de petits bécots lascifs. Je lui susurre de bien se caresser, d’y ajouter deux doigts, un œil sur l’écran qui donne sur le comptoir. Je me place derrière elle, lui reversant sa tête, l‘embrassant de manière explicite en massant ses seins, ses bons gros seins. Soudain, sa chaise recule, elle est jambes tendues et un long soupir s’extirpe de sa bouche pulpeuse. Je m’agenouille, retirant ses mains de sa chatte et les lèche en la fixant et ondulant du bassin. Je la chauffe, l’enflamme. Je suis une corrompue qui aime ...
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