1. Berlin, son histoire, ses vices 5


    Datte: 13/07/2018, Catégories: Entre-nous, Les femmes, Auteur: Charime, Source: Hds

    ... fermeture. Elle est à vous. Harangue Mademoiselle
    
    Si j’ai voulu protester, on ne m’en a pas laissé le temps. Je suis rapidement muselée par un adhésif solide. On me suspend par mes bras, me forçant à me plier en deux. Sur mes seins, on accroche des chaines assez lourdes pour me faire grimacer. On les tire en les passants derrière mon cou, par-dessus mes épaules. Sur ma croupe, une chevrière siffle et le fend d’un trait. Les coups se succèdent, de mes mollets à mes épaules. La douleur est vive, je pleure. Devant moi, sur un confortable fauteuil, Mademoiselle se fait lécher la moule par une autre salope de mon espèce. Je voudrais la supplier pour remplacer cette pute qui me chipe ma place. J’ai mal de partout. On m’encule d’une main entière sans pratiquement aucune préparation. Cette fois, Mademoiselle est décidée à me faire uniquement souffrir. Peu m’importe si c’est pour elle que je dois endurer cette punition. Je sais que je la mérite plus que personne.
    
    De derrière Mademoiselle, la honte arrive par l’entremise de Béa. Moqueuse, elle repousse de son pied, la pute qui lèche Mademoiselle et prend sa place. Mon corps n’est plus que douleur. Je sais déjà que ce n’est pas terminé. Si on arrête de me frapper, on coule de la cire brulante sur toutes mes parties hautement sensibilisées par cette longue séance de chambrière. Je me tortille fixant toujours Mademoiselle qui bavarde sans même plus me regarder. J’endure tout ce que peut mon corps et même bien au-delà. Mais à la ...
    ... soixante-sixième aiguille qu’une main sadique plante à travers ma langue, je perds connaissance.
    
    Je me réveille sur mon lit, Béa me soigne, Mademoiselle n’est pas présente. Je la suppose déjà en train de cruellement punir un de ses payant. Agnès, son mot me le dit, est à la boutique. Non, Mademoiselle est là, un café à la main. Elle me redresse tendrement, déverse un peu de ce breuvage dans ma bouche. Agnès, déguisée en une aguichante infirmière, est aussi de la partie.
    
    - Merci Mademoiselle, je sais maintenant ce que je peux endurer par amour pour vous et ce n’est pas encore assez.
    
    - Oh si, c’est bien assez. Tu en as faits bien plus que je ne serais endurer. Repose-toi ma chérie, je reviens ce soir. Oh Agnès, occupe-toi de ta Maîtresse avec amour. Béa, soigne-là bien, ma douce.
    
    Agnès était revenue de la boutique. Je n’ai même pas remarqué que nous étions dimanche. Elle nous quitte non sans nous avoir longuement embrassées tour à tour.
    
    L'agence, beurk !
    
    Deux mois et demi, ça passe beaucoup trop vite quand on aime. Me voilà devant l’agence. Je me présente à la réception, une lettre d’introduction signée par mon directeur et meilleur ami. Là, comme ça, vous voilà au courant. En regardant la réceptionniste, j’ai l’impression de voir une prostituée. Le sentiment que cela me donne, c’est d’être arrivée en enfer. Là, je ne bénis plus Alain, mon directeur et amant, c’est même tout le contraire, je le maudis. En la regardant marcher devant moi, elle a tout d’une pute. ...
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