Marie-Sophie
Datte: 29/01/2018,
Catégories:
fh,
voisins,
plage,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Auteur: Paraplume, Source: Revebebe
... de sa silhouette et lui souhaitai une bonne soirée devant ma porte.
Durant la nuit, après m’être masturbé en repensant à ses jambes nues qui s’agitaient la veille sous mon nez, j’imaginai un stratagème pour renouer au plus tôt le contact avec elle. C’est alors que me vint l’idée de lui offrir un cadeau en récompense de son action. Le lendemain, j’allai dans une boutique de décoration lui acheter un coussin miniature en tissu que je fis soigneusement empaqueter par la vendeuse. Dès lors, il ne me restait plus qu’à surveiller le moment où elle rentrerait chez elle et à prendre mon courage à deux mains. Comme il faisait chaud, je passai sous la douche et recommençai à m’exciter en espérant qu’elle ne me laisserait pas sur le palier et m’inviterait peut-être à boire un verre. J’espérais même qu’en réponse à mon initiative elle se montrerait conciliante et accepterait de dîner avec moi un soir. Bref, je voulais tenter ma chance et fantasmais une situation sans la moindre garantie que la réalité rejoigne ma fiction.
Vers dix-huit heures, j’entendis la porte du hall se refermer dans son bruit caractéristique et reconnus la foulée hâtive de Marie-Sophie sur le carrelage des marches. J’attendis un bon quart d’heure pour lui laisser le temps de se mettre à son aise et de se soulager d’éventuels besoins, puis je saisis mon petit cadeau et gravis les deux étages qui nous séparaient. Si l’effort accentuait naturellement les battements de mon cœur, la tension qui s’était accumulée ...
... devait aussi contribuer à cet emballement, après tout bien légitime, car il ne m’arrivait pas souvent d’accomplir une telle démarche. La porte s’ouvrit rapidement et le visage de la jeune femme ne trahit aucune surprise en me voyant. Au contraire, elle fit aussitôt un trait d’humour rappelant la déconvenue que nous avions connue la veille et me proposa d’entrer.
Son appartement me parut plus grand que le mien et disposé différemment, même si un énorme meuble de séjour encombrait tout un pan de mur. Je pris place sur une chaise, en limite d’une grande table en bois qui avait à voir avec le meuble, et elle s’assit en face de moi. Avant que j’aie pu dire un mot, elle fit allusion au paquet que je tenais dans mes mains et me demanda de quoi il s’agissait. Je lui confirmai qu’elle en était la destinatrice et lui tendis l’objet qu’elle déballa avec une curiosité enfantine.
Je profitai de son accaparement et du fait qu’elle ne me regardait plus directement pour l’observer et me faire une idée plus précise de son physique que je n’avais fait qu’entrevoir jusque-là. Comme à mon habitude, je commençai par le bas et m’arrêtai sur ses pieds que j’avais eu le plaisir de toucher le jour précédent et qui avaient pris place dans la même paire de chaussures. Sa robe, elle, avait changé, mais la coupe était semblable et dévoilait ses jambes jusqu’à mi-cuisses. Celles-ci étaient lisses et fermes et commençaient à se couvrir d’un hâle avantageux. Ses bras, sans être musclés, paraissaient ...