Marie-Sophie
Datte: 29/01/2018,
Catégories:
fh,
voisins,
plage,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Auteur: Paraplume, Source: Revebebe
À cette époque de ma vie, j’habitais dans un petit immeuble de trois étages situé dans le vieux quartier de la ville où se concentrait une population pauvre et souvent désœuvrée. Je logeais au premier dans un trente mètres carrés composé d’une pièce principale sur le devant et d’autres, plus réduites, à l’arrière. Les fenêtres donnaient sur une rue passante dans laquelle le soleil ne pénétrait qu’en fin d’après-midi et sur un vis-à-vis dont la proximité était parfois gênante. Sur ma tête, il n’y avait personne. L’appartement s’était vidé de son occupant peu après mon arrivée et n’avait pas retrouvé preneur depuis.
Tout en haut par contre, au terme d’une montée d’escaliers étroite et tortueuse, résidait une jeune femme qui était là avant moi, mais que je n’avais guère l’occasion de croiser. Il fallut une situation particulière pour que nous fassions véritablement connaissance et que j’apprenne, entre autres, qu’elle se prénommait Marie-Sophie et qu’elle travaillait comme serveuse dans une brasserie. Ceci expliquait qu’elle n’était pas souvent présente dans l’immeuble en journée et jusque tard le soir, contrairement à moi qui étais sans emploi et passais une bonne partie de mon temps devant mon ordinateur.
Un jour que je revenais des courses, je tombai sur elle, assise sur les marches de l’escalier extérieur devant une porte qui refusait de s’ouvrir. Quand je m’arrêtai à sa hauteur, elle comprit qui j’étais et m’expliqua le problème auquel nous étions tous les deux ...
... confrontés. Le verrou de la porte s’était bloqué et ne permettait plus son ouverture, même avec la clé. La seule solution consistait à l’ouvrir de l’intérieur. Heureusement, non loin de là se trouvait un vasistas qui, par chance, était entrouvert, mais à une hauteur impossible à gravir par ses propres moyens. Ma présence permettait donc de remédier à ce dernier point.
Sans que j’aie eu le temps de donner mon avis, la téméraire se proposa pour effectuer la manœuvre et ne sollicita que mon aide pour la hisser sur la petite tablette en briques sur laquelle donnait l’ouverture. Après avoir ôté ses chaussures, elle posa son pied droit dans le creux de mes mains jointes, et au prix d’une belle poussée parvint à s’asseoir sur le rebord.
J’admirais sa souplesse dont j’étais personnellement incapable, mais plus encore le galbe de ses mollets puis la blancheur de ses cuisses qui se dégagèrent franchement au paroxysme de l’effort avant qu’elle ne tire sur sa robe et rectifie sa position malgré le peu d’espace dont elle disposait. En quelques secondes, elle fut à l’intérieur.
Lorsque la porte s’ouvrit, je lus sur son visage la fierté de ce qu’elle avait accompli et m’empressai de la féliciter. Pendant qu’elle rechaussait ses sandales compensées, je remarquai qu’une tache sombre dessinait le contour de ses fesses mais me gardai de lui communiquer l’information de peur qu’elle ne se vexe d’avoir fait la poussière à ses dépens. Je lui laissai prendre les devants afin de profiter du dos ...