Plaisirs tarifés sur une aire d'autoroute - Histoires de Sexe

Plaisirs tarifés sur une aire d'autoroute

... deux mains et je dois bien écarter les jambes. Quelques secondes plus tard, mon sexe reçoit son deuxième membre tarifé. Le garçon est plus attentif à la femme que je suis, il me prend avec douceur en de lents va-et-vient et me caresse en même temps le dos, les seins, les cuisses, le clitoris. À tel point que, sous les yeux d’un Thibault complice et de trois inconnus, je jouis, sans retenue, acte incongru sans doute pour la pute que je suis devenue, mais résultat d’un plaisir immense que je ne peux contenir. Mon orgasme ne passe pas inaperçu ni de mon « public » qui commente la chose ni de mon client de l’instant qui accélère ses mouvements et se libère lui-même dans son fourreau de latex.

Petit jeu des billets qui changent de mains, le troisième homme me fait garder la même position. À sa demande, je dois prendre à mes lèvres sexuelles la liqueur naturelle qui s’en écoule pour venir lubrifier ma petite rosette, qui a retenu sa préférence. Je m’exécute, je dois jouer quelques instants de mes doigts sur mon anus, l’homme prend même ma main et me force à m’introduire deux doigts en moi et à me masturber analement quelques instants. Puis il me prend, sans concession lui non plus, d’une longue poussée ininterrompue. Il a le sexe large et qui me semble interminable, je le sens s’insinuer en moi avec l’impression qu’il va me déchirer et que sa poussée ne va pas s’arrêter.

Il me sodomisera ainsi pendant plus d’un quart d’heure, je suis toujours en appui sur le parechoc du ...

... Scania, mes seins ballottent sous moi au rythme des coups de boutoir, je note au passage que la plaque d’immatriculation du camion le localise dans notre région Lorraine, le garçon finit par jouir, cramponné à mes hanches, longuement.

Notre routier complice du départ est le dernier à me posséder.

Voulut-il m’humilier un peu plus, voulut-il récompenser Thibault de sa largesse d’esprit, cela relevait-il des deux à la fois.

Quoi qu’il en soit, je dois de nouveau, agenouillée sur le macadam du parking, prendre Thibault en bouche, passer à la position à quatre pattes et être ainsi possédée par mon dernier client, qui, lui, choisit la voie la plus naturelle. Position infamante sur un parking, en public, savoir-faire de celui qui me prend, trouble plaisir de sucer mon propre mari en ces circonstances, un « mix » de l’ensemble : pour la seconde fois de ma toute récente vie de prostituée de parking, je jouis, en gémissant, sans pouvoir dissimuler mon plaisir aux mâles présents. Comme s’ils attendaient l’un et l’autre ce signal, Thibault se décharge au fond de ma gorge en longues saccades chaudes, le routier atteint lui-même son plaisir quelques secondes plus tard.

L’homme se retire, Thibault m’aide à me relever. Un des hommes me tend ma chemise, je la remets, sans même la refermer.

Un routier souhaite prendre des photos de moi avec son iPhone, Thibault le lui accorde sous réserve que je dissimule mon visage. Une dizaine de « clics », je sais que des clichés de moi dans cette ...