Plaisirs tarifés sur une aire d'autoroute - Histoires de Sexe

Plaisirs tarifés sur une aire d'autoroute

... remonte entre mes cuisses, je m’ouvre sans résister.

— Alors, ma douce salope, ça te plaît ?
— Oui, ça me plaît.
— Tu me dirais le contraire, je ne te croirais pas, tu es déjà toute mouillée rien qu’à l’idée… C’est juste l’exhib’ qui te branche ou tu vas aller plus loin ?
— Et toi, tu aimerais que j’aille jusqu’où ?
— À ton avis ?
— Salaud… Je ne suis pas une pute…
— Et si tu le devenais ce soir ?
— Tu veux vraiment ?
— Oui, Agathe, on en a déjà parlé, j’aimerais que tu fasses ça…
— Là, comme ça, sous tes yeux… ?
— Oui… ça te choque ?
— Non… J’ai envie aussi… Je le fais.

Notre routier revient à cet instant précis, accompagné de trois autres garçons, tous plus jeunes que lui, tous mignons, dirais-je.

— Toujours OK pour vous montrer ? demande notre complice.
— Pas de souci, pour moi c’est bon.
— Juste le strip-tease ou plus, alors ?

C’est une fois encore Thibault qui répond pour moi :

— Elle est OK pour la suite. Mais un impératif : ça se fait dehors, devant moi, et avec préservatif.
— Pas de problème… Combien ?
— 50 chacun…

Les quatre garçons n’hésitent pas un instant, l’un d’eux ironise même :

— Pas chère, la petite dame… On voit que vous n’êtes pas une pro… Enfin, j’dis ça, tout dépend, à ce prix-là, on peut avoir quoi ?
— Pas de truc interdit.

À la demande de mes « clients », ma première prestation tarifée sur ce type de parking commence par une exhibition langoureuse, adossée à l’avant d’un Scania rouge sang. Puis je dois me ...

... caresser, seins, sexe, les deux.

Un garçon interrompt quelques instants le jeu, souhaitant que je me mette intégralement nue : approbation générale, je retire totalement ma chemise et c’est chaussée de mes seules Converse que je continue à me masturber devant mon public, assise sur le pare-choc, cuisses écartées de manière très obscène.

C’est dans cette position que le premier routier viendra me prendre, après que je l’ai vu glisser ses billets dans la main de mon mari. Il se place devant moi, me demande de lui ouvrir son jean, de moi-même sortir son membre du boxer, c’est moi encore qui mets en place le préservatif qu’il m’a tendu. Il me possède d’une seule poussée, sans aucune douceur, et il me besogne vigoureusement, moi cramponnée au parechoc tiède sous mes fesses, le dos marqué par la calandre. Il me prendra ainsi de longues minutes : deux autres routiers ont sorti leur sexe et se masturbent en nous regardant, notre premier interlocuteur est adossé à son camion et fume tranquillement une cigarette. Thibault observe la scène avec intérêt et me sourit quand nos regards se croisent.

Après avoir joui avec des « han » de bûcheron, mon premier client se retire.

Le second souhaite, lui, que je l’honore de ma bouche avant l’acte. Agenouillée sur le macadam chaud, la bonne élève que je deviens le prend comme il le souhaite, appliquée à la caresse demandée. Au bout de quelques instants, il me fait me relever, je dois me retourner, je prends appui sur le parechoc du camion des ...