La photographe
Datte: 12/07/2018,
Catégories:
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cocus,
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photofilm,
Oral
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Auteur: Faustine, Source: Revebebe
... aspects. Petit, râblé, sec, sans une once de graisse, son corps est recouvert d’une toison généreuse. Des épaules aux chevilles il est habillé d’un duvet dont la densité varie avec son emplacement, le pubis par exemple étant une forêt, une forêt d’où jaillit sa verge. Il est en érection et sa tige est horizontale.
— Regarde, il bande pour toi, me dit sa femme qui prend le sexe avec une main.
Mais la main fait prendre la mesure de la queue, courte, noueuse, mais étrangement large, terminée par un gland qui se détache nettement du reste. Les couilles sont à peine visibles, dissimulées par de longs poils, mais on peut les penser à la mesure du reste.
— Allonge-toi, elle va te sucer.
L’espace d’une seconde je me rends compte que cette femme dirige son mari un peu comme elle m’a amenée sur ce lit. Mais aussi quel mari refuserait une telle proposition ?
Il s’allonge à côté de moi, couché sur le côté, amenant ainsi son sexe au niveau de mon visage. C’est naturellement que je me tourne vers lui et, aidée par sa main posée derrière ma tête, mes lèvres sont à portée de ce gland qui me paraît encore plus gros.
— Oh, oui, c’est bon !
Je ne peux me retenir de montrer mon plaisir car Christine me caresse parfaitement. Elle s’est agenouillée à nouveau. Ses lèvres aspirent mon clitoris. Ses doigts frottent à nouveau ce lieu magique. J’allais dire "Continue, encore !" mais l’homme a poussé ma bouche sur son gland et je n’ai pas eu d’autre choix que de le gober. Mes ...
... lèvres se reposent de leurs efforts en se refermant sur le sillon. Ce champignon suffit à me remplir. Ma langue peine à l’explorer. L’homme me maintient ainsi, sa pomme d’amour dans ma bouche. La position est inconfortable, mais pour rien au monde je ne voudrais bouger car la femme me conduit doucement à la jouissance. Jamais on ne m’a caressée ainsi. Aucun homme, certains pourtant habiles…
(Nadine m’a oublié. Elle parle comme si je n’étais pas là. Pourtant toujours allongé face à elle, je peux voir sur son visage et sur son corps les effets de cette scène qu’elle me décrit. Elle ruisselle.)
… Sa bouche m’aspire, me tète. C’est si bon. Et ses doigts qui câlinent ! Petit à petit, je la sens venir, monter et lorsqu’elle arrive c’est un cataclysme, une jouissance particulière. Je voudrais hurler et dire combien c’est bon, mais le gland ne quitte pas ma bouche et seuls des grondements doivent en sortir. L’homme me libère enfin et je peux reprendre mon souffle. Je suis au bord de l’asphyxie. Je retombe sur le lit à la recherche de l’air.
Quelques dizaines de secondes, une minute peut-être, où le temps s’arrête. Je repose sur le lit, fatiguée, fourbue, chaque muscle endolori de cette tétanie magnifique. Christine est en face de moi. Je sens son regard bienveillant, presque moqueur.
— Ça t’a plu ?
— Oui. Beaucoup.
Toujours ce sourire :
— J’ai bien remarqué. Ton mari ne te fait pas cela ?
— Si, si souvent mais jamais comme cela… Comme tu l’as fait.
— Regarde. Elle me ...