La photographe
Datte: 12/07/2018,
Catégories:
fh,
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hplusag,
fplusag,
cocus,
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photofilm,
Oral
pénétratio,
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Auteur: Faustine, Source: Revebebe
... pas une seconde. Sa main étreint la mienne. Je la suis. Nous traversons le couloir, la porte de ce qui se révèle être une chambre est ouverte. La lumière m’assaille, m’éblouit. Le soleil est bas et inonde la pièce de ses rayons. Je ne vois que le lit, illuminé comme mis en scène par l’astre solaire.
Elle me guide. Au bord du lit elle se colle de nouveau à moi. Le baiser est puissant, sa langue m’envahit, elle ne me laisse que le choix de subir. Mais c’est bon. Elle me pousse encore. Mes jambes butent contre le lit, je ne peux que partir en arrière, mais elle m’accompagne, lèvres soudées, me retenant pour que je m’allonge.
Elle commence alors son doux labeur, partant de mes lèvres, mon cou, mes seins où elle s’attarde, déclenchant des frissons sur mon corps, puis mon ventre, mon pubis, ma fente où je ne peux que soupirer de plaisir alors que ses lèvres se frottent aux miennes. Elle s’arrête un instant, se redresse, son regard me transperce dans une sorte de défi. Elle me domine de toute sa hauteur, fière, la poitrine se soulevant au rythme d’une respiration à peine plus rapide alors que moi j’ai déjà l’impression de manquer de souffle. Elle me sourit et puis se penche à nouveau. Se penche et s’agenouille entre mes cuisses.
— Oh !… Ah…
Je ne suis que soupirs, frissons, alors que Christine me caresse. Ses lèvres sont des brûlures, sa langue une chose vivante qui s’insinue partout traçant des chemins humides. De longues secondes, elle m’explore comme jamais on ne ...
... l’a fait. Elle fait "mouche" à chaque geste. Mon clitoris est devenu son jouet, elle l’aspire, l’enveloppe.
(Nadine semble revivre cet instant. Ses paupières sont closes. Elle respire fort. Elle transpire. Une main est plaquée contre sa chatte.)
Des doigts me pénètrent. Des doigts qui se courbent, cherchant… Oh oui ! Là ! Exactement là. Le temps est suspendu. Christine s’est redressée mais elle me fouille toujours de ses doigts, caressant une zone que je n’avais jamais cru exister. J’ai toujours pensé que le point "G" était un mirage. Mais il existe ou en tout cas, les caresses de cette femme sont si précises, si douces, si excitantes.
— Jean ! Approche.
Sur le moment je ne fais pas attention, mais une ombre attise ma curiosité. C’est son mari qui ne devait pas être loin, caché par la luminosité du soleil.
C’est bien lui. Il a été un voyeur dans l’ombre. Il est le témoin de ma faiblesse. Je le regarde mais je ne me sens pas trahie. Au contraire, il peut voir sur mon visage les résultats des caresses de sa femme. Surtout qu’elle n’arrête pas. Ses attouchements sont si bons. Elle me flatte délicatement et c’est un bonheur.
— Déshabille-toi.
C’est manifestement un ordre pour son mari. Alors que je me contorsionne de plaisir, je regarde, les yeux troubles, cet homme obéir. En quelques secondes il est nu. Le soleil, maintenant, l’inclut dans notre scène. Il fait partie de notre tableau. Nous ne sommes pas des nymphes et il n’est pas un satyre, mais il en a des ...