La photographe
Datte: 12/07/2018,
Catégories:
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photofilm,
Oral
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Auteur: Faustine, Source: Revebebe
... montre son mari dont le sexe est toujours tendu. Lui a encore envie. Viens, Jean, elle est ouverte pour toi.
Le mari ne se le fait pas répéter. Il quitte le lit et se redresse de toute sa force virile.
— Il va te prendre. Tu veux ?
Je suis la pire des salopes. Pas une seconde je n’hésite.
— Oui.
L’homme n’attend que ce oui et il se place. Sans effort apparent, il attrape mes chevilles et lève mes jambes, m’ouvrant à son désir. Il ne me regarde pas, occupé de positionner sa bite contre ma chatte. Je sens sa pression et au moment où il lève la tête pour me regarder, il avance en moi. Il entre, m’ouvre, se fraie un chemin. Mais ce n’est que du bonheur, le mandrin trouve sa place et m’envahit. Je suis humide, ouverte, mes sucs se mêlent à la salive dont j’ai orné le gland. Mes jambes écartées dans un "V" de victoire lui laissent toute la place dont il a besoin. Son ventre heurte mes fesses. Il repose mes jambes sur ses épaules et s’appuyant sur le lit, il commence aussitôt ses mouvements. Sa possession devient très vite puissante, brutale, son ventre claque sur le mien. Je ne peux m’empêcher de parcourir son torse de mes mains, découvrant la douceur de son duvet, la longueur de ses poils.
— Elle est bonne, hein ? demande Christine à son mari.
Et lui, ahanant de ses coups de butoirs, lui répond :
— Putain, oui… Elle est étroite… C’est bon…
— Tu vois, je t’avais dit que rien ne vaut une chatte de jeune, un minou qui n’a pas eu d’enfant.
— Tu as raison. ...
... Comme toujours, tu sais ce qui est bon pour moi.
— Pour moi aussi, tu sais bien.
Mon regard croise celui de la femme.
— Il est fort mon homme, hein ! T’aimes ça !
Ce n’est pas une question, plutôt une affirmation. De toute façon pas besoin d’un long examen pour comprendre que j’apprécie. Oh, oui j’apprécie que cet homme me défonce avec sa queue de paysan. Mais je crois que de se faire baiser sous les yeux de sa femme y contribue. Comme cette façon qu’elle a de me traiter depuis que j’ai franchi le seuil de sa maison, me privant de mon libre arbitre pour me guider là où elle veut.
— Prends-la en levrette.
Encore un ordre que le mari s’empresse d’exécuter. Il me quitte et m’aide, car moi aussi j’obéis, à m’installer. La bite m’envahit à nouveau et reprend ses mouvements. L’homme s’accroche à mes hanches. Son ventre sur mes fesses claque encore plus fort. Je sens et j’entends son mandrin me posséder. C’est bon, cette force brute. Je ne suis qu’un fétu de paille entre ses bras. Le lit bouge à côté. C’est la femme qui se place en face de moi, assise les jambes écartées.
— Bouffe-moi la chatte.
L’ordre est accompagné par sa main qui pousse ma tête entre ses cuisses. Me voici encore plus cambrée. Je découvre la moiteur des lieux, une chatte généreuse, des lèvres bombées, des petites lèvres prononcées.
— Allez, lèche-moi.
Pour la première fois je découvre la complexité d’une chatte de très près. Mes lèvres effleurent, ma langue explore. C’est ma première fois ...