La photographe
Datte: 12/07/2018,
Catégories:
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cocus,
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photofilm,
Oral
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Auteur: Faustine, Source: Revebebe
... je pensais à toi. Oui à toi qui étais parti pour deux semaines me laissant seule avec maintenant un corps exacerbé par cette perverse de Christine. Je me retenais de me caresser. J’avais envie de jouer avec mes tétons et plus encore de glisser ma main dans ma petite culotte. Mais bien entendu je n’ai rien fait. Je n’allais tout de même pas me caresser devant une inconnue, quel que soit son talent.
Et puis le jeu a pris fin. L’artiste avait utilisé toutes ses cartouches. Elle me laissait alanguie.
— Je crois que cela va être magnifique. Tu… Pardon vous…
— Vous pouvez me tutoyer si vous voulez.
— Merci, toi aussi. Donc je disais qu’il faut faire le tri pour ne conserver que les plus belles pour ton mari. Tu crois qu’il va aimer ? Il ne sera pas choqué que nous ayons fait cela ?
Je la rassure. Damien va être surpris, mais surtout devrait apprécier.
— J’espère que ça part facilement, dis-je en tournant sur moi-même.
— Une bonne douche et il n’y paraîtra plus.
— Oh ! Oh ! Damien m’a demandé d’attendre pour utiliser la nôtre, le temps que cela sèche.
— Il faut juste frotter un peu. Mais viens à la maison, ce sera plus facile.
Désolée mon chéri, mais je n’ai pas réfléchi. En montant, j’ai salué son mari qui lisait un journal. Il savait certainement ce que sa femme avait fait, car il avait un regard moqueur. En plus la blouse ne cachait pas le cou et les jambes avec des couleurs étalées. La douche est confortable, vaste, le jet provient d’une large pomme et ...
... l’eau chaude ruisselle sur mon corps. La peinture part assez facilement en frottant avec un savon spécial, mais je ne peux pas atteindre mon dos.
— Attends, je vais t’aider, me dit Christine et elle ajoute : attends, j’enlève ça.
Le "ça" c’est son polo et son short. Elle est en petite culotte, mais elle aussi tombe sur le sol. J’avais enlevé ma petite culotte sous son regard. Après les poses qu’elle m’avait fait prendre, la pudeur n’est plus de mise.
(Je remarque que Nadine utilise maintenant le présent comme si elle revivait l’instant. D’ailleurs elle ne me regarde plus, son regard passe au-dessus de moi.)
Elle avance vers moi. Elle est magnifique. Sa poitrine semble de marbre, deux lobes parfaits. Elle me fait tourner. Ses mains enlèvent les dernières traces de peinture. Elle examine chaque recoin. Je me sens étrangement bien. Elle me caresse. Elle me guide hors du jet et je me retrouve tout contre elle. Ses seins me transpercent. Son pubis se frotte au mien. Son baiser me semble naturel.
— Tu es si belle, dit-elle en quittant mes lèvres un instant pour mieux y revenir.
Je suis toute "chose". La situation est si inattendue. Une femme ! Je ne connais pas ce trouble. Ce contact de nos peaux, de nos seins, de nos ventres, mais aussi ces mains qui me caressent. Une femme ! Bien entendu, j’ai perçu lors de la séance photo et celle de body painting que son regard était plus que celui d’une artiste. Mais de là à…
— Viens. Allons dans la chambre.
Je ne proteste ...