La photographe
Datte: 12/07/2018,
Catégories:
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photofilm,
Oral
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Auteur: Faustine, Source: Revebebe
... mes cheveux. Ses clichés étaient à la fois tendres et coquins. Elle me questionne :
— Alors ?
— Je ne m’attendais pas à cela. C’est étonnant ce que vous avez obtenu !
— Oh je n’ai pas fait grand-chose. Vous êtes un modèle parfait. Vive, belle, sensuelle.
Nos regards se croisent alors qu’elle me complimente. Je vais faire ma modeste, comme je le ferais si c’était un homme qui me parle, mais je me retiens.
— Celles que je préfère ce sont celles-ci.
Elle me montre. Plusieurs clichés où je tiens dans ma bouche le manche d’une brosse alors que j’utilise une autre, m’évitant ainsi de devoir la déposer. Mes lèvres enveloppent le manche que ma mâchoire maintient fermement. Lorsque je le retire de ma bouche, l’extrémité du bois est plus sombre et humide de ma salive. Certaines images sont équivoques et un esprit mal tourné aurait fait le rapprochement avec une fellation.
Je la regarde. Elle sourit.
— Je sais, c’est un peu cru, mais je ne peux m’empêcher de penser… Pas vous ?
— Je ne me rendais pas compte… Mais c’est vrai que…
Quelques secondes de silence.
— J’aimerais bien faire encore quelques clichés. Un peu plus érotiques. Des clichés que vous pourriez montrer à votre mari. Je pense qu’il n’a jamais imaginé la peinture comme une activité sensuelle. Vous voulez bien ?
Sa voix est douce. Cela paraît si simple. Elle insiste :
— J’ai de la peinture spéciale "body painting". Je pourrais réaliser des fresques sur votre corps qui feraient rêver Damien. Il ...
... vous découvrirait sous un autre jour.
Chéri, je te demande pardon mais je n’ai pas pu résister à cette offre. C’était si original, si inattendu surtout venant de cette femme qui donnait l’impression d’une bourgeoise plutôt coincée. Déjà sa façon de me photographier dénotait une vision particulière, alors du "body painting" !
Je ne vais pas te parler de toutes ses réalisations. Elle m’a donné les fichiers et tu pourras voir. Voir ! Me voir déshabillée devant elle pour me recouvrir de ces dessins. Par pudeur idiote j’avais gardé ma petite culotte. Mais pour le reste tu verras. Mais les photos ne sont que la partie visible de l’iceberg, la partie cachée est la plus importante.
Petit à petit, elle m’a guidée, dirigée, me faisant prendre une pose, puis une autre afin de mieux mettre en valeur ses dessins. Mais aussi le supplice très vite devenu délicieux de ses pinceaux de soie qui étalaient la peinture sur ma peau. Le contact pervers dans le cou qui déclenche des frissons, sur les seins avec mes tétons qui pointent, dans le creux des reins, sur le ventre, tout autour du nombril transformé par magie en fontaine, sur les cuisses, sur les chevilles, sur les pieds. Très vite, je suis devenue une toile vivante entre ses mains. Une toile qu’elle prenait en photo, me guidant vers des poses sensuelles, parfois plus qu’érotiques. Oh oui, érotiques, car comment me suis-je retrouvée sur la table de la cuisine, à genoux, cambrée pour que le dessin sur mes reins prenne vie ?
Chéri ...