1. Home by the sea


    Datte: 12/07/2018, Catégories: fh, inconnu, bizarre, Oral pénétratio, fantastiqu, Auteur: Bloodflower, Source: Revebebe

    ... étaient posés de part et d’autre d’un guéridon sur lequel trônait une carafe en fin cristal ciselé, remplie d’un liquide brunâtre et deux verres à pieds, le tout posé sur un plateau en argent. Dans le coin à gauche, je pouvais distinguer une porte qui devait sûrement mener à une salle de bains. Cette pièce, comme tout le reste de la maison, semblait avoir été gardée intacte depuis des siècles, un peu comme si le temps s’était arrêté et avait tout figé pour l’éternité.
    
    Je me retournai vers lui, il n’avait cessé de m’observer :
    
    — Alors, jolie dame, ma chambre te plaît-elle ? Elle est tienne à présent, tout comme tu es mienne… n’est-ce pas ?
    
    Je ne répondis rien, c’était inutile, il connaissait déjà toutes mes pensées. Je me contentai de lui sourire. Il posa son index droit sous mon menton et exerça une légère pression pour me faire relever la tête, plongeant ainsi son regard bleu océan dans le mien. Je ne quittai plus ses yeux, je m’y noyai littéralement. Je sentis son doigt quitter mon menton pour se promener sur mon cou, sur ma gorge, jusqu’à la naissance de mes seins.
    
    Je me rendis compte que je ne portais plus mon jean élimé et mon vieux tee-shirt, mais une robe noire faite de soie fine et de dentelles de Calais. Mais maintenant, plus rien ne m’étonnait, plus rien ne m’importait, à part la divine caresse de son doigt sur ma peau brûlante. Il fit délicatement glisser une bretelle puis l’autre, et la robe glissa le long de mon corps dans un bruissement de soie. ...
    ... Je ne fus pas surprise non plus de ne rien avoir en dessous et de me retrouver nue devant lui. Ses yeux quittèrent mon visage pour scruter mon corps frémissant :
    
    — Tu es très belle, tu sais….
    
    Que répondre à cela ? Je respirais par saccades et je ne pus que murmurer dans un souffle :
    
    — Toi aussi…
    
    Il me souleva avec une telle aisance que j’avais l’impression de ne pas peser plus lourd qu’une plume. Il alla jusqu’au lit où il me déposa délicatement sur les draps de satin noir et je m’enfonçai avec volupté dans le matelas moelleux.
    
    Il vint s’allonger sur moi et m’embrassa, cette fois avec fougue, presque avec violence. Ses lèvres quittèrent ma bouche pour aller explorer les moindres recoins de mon corps gorgé de désir. Je fermai les yeux et me laissai aller au plaisir de ses attouchements. Je sentais ses mains, sa bouche, sa langue courir sur mon corps, s’arrêtant par moment sur un téton durci pour le caresser, le pincer, le lécher, le mordiller. Quand sa bouche quittait mon corps, c’était pour revenir sur mes lèvres tandis que ses mains continuaient leur voyage sur chaque centimètre de ma peau.
    
    Je faisais aussi courir les miennes sur son dos, après lui avoir ôté sa chemise. Sa peau était si douce et fraîche sous mes doigts que j’aurais pu le caresser des heures durant. Je fis glisser mes paumes dans le bas de son dos, les remontai sur son ventre et son torse. Je m’y attardai un instant avant de descendre encore un plus bas, jusqu’à atteindre le velours de son ...
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