1. La P. . . . .


    Datte: 11/07/2018, Catégories: h, cérébral, revede, Masturbation regrets, attirautr, Auteur: Louise Gabriel, Source: Revebebe

    ... toujours tranquille…
    
    — T’es une grosse salope, sous tes airs de mijaurée, oui, tu dois être une vraie pute, c’est sûr. Sapée comme tu es, c’est obligé, tu m’aguiches depuis des lustres, hein, tu me snobes, tu dis rien, tu te fous de moi, je vais te coller une baffe tu verras, non, je vais t’en coller une tout de suite… ça peut pas te faire de mal…
    
    Il se leva, il assena une magistrale gifle, le long corps vacilla un temps sur ses hauts talons et finit par se vautrer entre la table basse et le canapé, dans un bruit mat et sourd. Il se leva d’un bond… il la releva, la serra fort dans ces bras…
    
    — Excuse-moi, ma chérie, je ne sais pas ce qui m’a pris. Oh, merde, tu sais, ces accès de folie, je ne sais pas d’où ça vient. Allez, viens contre moi, plus près, que je te console… que j’arrange tes cheveux, t’es toute décoiffée, tes cheveux sont si beaux, si noirs… t’es un peu espagnole, mexicaine, argentine… tu sens le sud de la chevelure… oh, rapproche-toi, encore un peu, j’ai mal, oh putain ! Je t’ai fait mal…
    
    Il l’embrassa à pleine bouche, colla toujours plus près ses lèvres, lécha ses paupières, ses sourcils en accent circonflexe, ses petites oreilles microscopiques et craquantes, descendit sur sa nuque, en relevant sa lourde chevelure, dénoua le lien de sa robe dos nu, découvrit ses seins, suça leur pointe toujours aussi raide…
    
    — Ah, je t’excite ma petite chienne, t’es une chienne, oui, toujours prête, rien ne t’embête, prête à tout… Bouge pas de là, je vais me ...
    ... chercher un autre truc à boire, j’ai trop soif, et puis il fait une chaleur d’enfer ici…
    
    De retour avec une bouteille perlée de buée, une autre longue rasade, il l’observait depuis l’encoignure de la porte de la cuisine, seul endroit d’où il pouvait avoir un peu plus de recul, il avait fait le bon choix, elle était parfaite, majestueuse, toujours, la robe descendue jusqu’à la taille, la poitrine victorieuse, une très belle plante…
    
    Il se perdit un temps en contemplation, termina d’un trait sa bière et retourna près d’elle, la caressa doucement au début, très doucement, l’empoigna plus fort, plus près, lui griffa le dos, encore et encore en de longs mouvements, ascendants, descendants, imprima toujours plus loin ses ongles, les noyant quasi dans ses chairs souples et réchauffées, elle toujours silencieuse, impériale… un sens du sacrifice qui touchait à la perfection…
    
    Elle était quasi aussi grande que lui, perchée sur ses hauts talons vernis, il en avait assez de la voir habillée, il s’était mis à poil depuis un bout de temps déjà, il faisait trop chaud et sa queue vivait mieux au grand air, la garder serrée dans son slip et son pantalon était devenu souffrance. Il entreprit de lui faire subir le même traitement, remonter la robe le long de ses jambes, l’intérieur si doux de ses cuisses fuselées, fermes comme une gymnaste adolescente, il poursuivit son ascension, encore et encore sans empressement, il faisait durer son plaisir, durcir sa queue, empirer son mal de ventre, une ...