Une famille formidable !
Datte: 10/07/2018,
Catégories:
fh,
jeunes,
cocus,
fépilée,
vacances,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
facial,
Oral
fdanus,
Auteur: Taz, Source: Revebebe
... toi.
— Et apparemment, il a prévu que nous continuions ce petit jeu, d’après ce qu’il m’en a dit.
— Je sais, mais il doit absolument penser que c’est lui qui décide.
— Pourquoi ?
— Cela ajoute du piment à la situation ; sinon je crains qu’il ne décide d’arrêter complètement.
— Bah oui, mais moi je suis quoi là-dedans ? Je suis sa marionnette ?
— Il faut le lui laisser croire ; et ne t’inquiète pas, nous aurons des moments privilégiés dont il ne saura rien.
— Donc si je comprends bien, ton mari est un candauliste jaloux ! C’est antinomique.
— Non, il ne veut simplement pas que la situation lui échappe… Bon on en reparlera plus tard. Va vite t’habiller et rejoins-nous à la cuisine.
Voilà qui est plus clair. Après ces quelques confidences, je comprends enfin le jeu auquel je suis mêlé. Patrick souhaite voir sa femme prendre du plaisir avec d’autres hommes sans que la situation dérape. Anne, de son côté, souhaite simplement passer du bon temps, que cela soit avec ou sans l’accord de son mari. Il semblerait même qu’elle prenne un malin plaisir à jouer avec les limites du jeu dans lequel Patrick l’a poussée.
Et moi, dans tout ça ? Je suis l’enjeu, rôle que j’endosse pour mon plus grand plaisir car Anne a des atouts qui ne me laissent pas indifférent.
Quelques minutes plus tard, je me présente sur la terrasse où ils m’attendent en dégustant un apéro. Patrick me propose un whisky que j’accepte volontiers car je sais que c’est un connaisseur ; son fils et moi avons ...
... d’ailleurs eu l’occasion de déguster quelques-unes de ses meilleures bouteilles en fouillant dans sa cave par le passé.
Ils m’interrogent sur mon futur emploi :
— En quoi consistera ton job ?
— D’après ce que j’ai compris, je dois parcourir la plage de long en large avec un panier rempli de beignets et de bonbons en hurlant pour attirer le chaland.
Anne est assise face à moi ; sa jupe légère dévoile largement le haut de ses jambes.
— Houlà, ça a l’air physique, tu vas finir sur les rotules ! Et tu commences à quelle heure ?
— À 9 heures.
Elle s’avance pour attraper son mojito sur la table basse et se rassoit au fond de son siège. Ces quelques mouvements ont encore fait remonter sa robe sur le haut de ses cuisses de quelques centimètres, dévoilant ainsi l’orée de son entrejambe.
— Mais il n’y aura personne sur la plage à cette heure-là ! réplique-t-elle.
Hypnotisé par ses jambes, j’ai vraiment du mal à suivre le fil de cette conversation.
— Oui, je sais, mais je pense que demain il veut m’expliquer le boulot ; après, ce sera probablement un peu plus tard. Malgré tout, il faut commencer le matin pour garnir les beignets qui sont livrés nature.
— Ah, OK. Par contre, cela te laissera peu de temps pour profiter de la plage.
Une pensée me traverse l’esprit, Anne a-t-elle remis sa culotte depuis cet après-midi ?
— De toute façon, la branlette, j’aime pas ça !
Est-ce que je viens bien de dire ça ?
— Qu’est-ce que tu as dit ? me demandent-ils en ...