1. La jolie inconnue sous son voile


    Datte: 10/07/2018, Catégories: ffh, hplusag, vacances, fsoumise, hdomine, cérébral, Masturbation fsoumisah, Auteur: Ijokpl, Source: Revebebe

    ... rester comme ça… »
    
    — Fais-toi jouir pour moi. Regarde-moi, caresse-toi, fais-toi jouir maintenant, sans un mot. Je veux t’entendre jouir sans retenue.
    
    Elle obéit, le regarde, dans les yeux, pose une main sur son sexe, le caresse, lentement, elle veut en profiter aussi. Ses doigts tournent sur son clitoris, elle en glisse un qui la pénètre doucement, puis deux, revient, elle ne va pas tenir… Elle sent l’orgasme monter… Doit-elle se retenir ? Son regard interroge…
    
    — Jouis, ma salope, pince ton clitoris jusqu’à ce que tu jouisses. Ne ferme pas les yeux.
    
    Elle obéit, s’oblige à le regarder, se retient un peu encore, avant d’exploser.
    
    Elle jouit. Comme une bête, comme rarement. Elle crie son plaisir, mord ses lèvres, un instant ferme les yeux, de toute façon elle ne voit plus rien… Sa main se referme, ses doigts s’enfoncent, ses cuisses se ferment. Elle sent que sa main est trempée, ses genoux se dérobent, se plient malgré elle. Elle se laisse tomber à genoux. Elle ouvre les yeux, offre son orgasme à celui qu’elle prend pour maître, vraiment, à ce moment-là. Dans le même temps, obscurément, une partie de son cerveau envoie un autre message : « Comment puis-je faire cela ? »Lui la regarde, pantelante, qui reprend lentement son souffle et ses esprits ; il bande ; il se penche, prend le poignet, lève la main trempée et la porte vers les lèvres de Sehrazat :
    
    — Lèche, suce tes doigts !
    
    Et elle obéit, consciencieusement, elle suce ses doigts, l’un après l’autre, ...
    ... lèche sa main. Quand elle a fini, il prend la main, la tire à lui pour qu’elle se lève, la conduit vers le canapé qu’il lui a attribué comme panier :
    
    — Installe-toi comme tu veux.
    
    Et il la recouvre d’un châle le temps qu’elle se reprenne. Il la regarde, recroquevillée comme un animal qui veut conserver sa chaleur ; il la caresse lentement à travers le tissu. Il se tourne vers son amie :
    
    — Ceçilya, ça t’a plu ? Tu dois être un tantinet excitée aussi, non ?
    — Peut-être moins que toi… Mais je suis toute mouillée aussi ; et je n’ai rien pour me calmer. Tu ne voudrais pas m’aider ? Ou tu veux que, moi aussi, je me fasse jouir devant toi ?
    
    Elle n’a pas de raison de se retenir, d’hésiter… Elle ouvre son pantalon, en abaisse la fermeture à glissières, regarde la réaction qu’elle suscite.
    
    — Enlève ton pantalon, je vais t’aider.
    
    Et il se leva pour s’agenouiller à côté de son amie, sa main se glissant dans la petite culotte mouillée. Attrapant la chatte à pleine main, il la masse, presse ses doigts sur les lèvres, sent celles-ci s’ouvrir, engloutir deux de ses doigts. Il la caresse sans tendresse, pour la faire jouir, elle s’abandonne, ferme les yeux après avoir croisé ceux de Sehrazat qui les regarde. Elle ronronne, sent la caresse devenir plus douce, sent les doigts s’attarder sur son clitoris, sait qu’il va le pincer. Au moment où la pression devient douloureuse, elle jouit à son tour, et Sehrazat l’entend gémir doucement, en dedans. Le corps qui s’est soudain tendu, ...
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