La jolie inconnue sous son voile
Datte: 10/07/2018,
Catégories:
ffh,
hplusag,
vacances,
fsoumise,
hdomine,
cérébral,
Masturbation
fsoumisah,
Auteur: Ijokpl, Source: Revebebe
... hanches, glisse ses mains sous le corsage pour caresser les seins encore enveloppés.
Il se recule de nouveau, regarde encore la fine croupe, prise dans une culotte qui laisse voir une partie des fesses, elle a vraiment un joli petit cul. Il la retourne vers lui, elle en est un peu déçue, ce n’est pas pour maintenant. Il la regarde. Elle le regarde, elle se donne, elle écarte légèrement les jambes. Il profite. Ses yeux descendent du visage, des lèvres qui lui semblent un peu gonflées vers le cou, les seins, pas très gros, mais il n’aime pas les gros seins, le ventre, les hanches, la culotte, un porte-jarretelles, des bas, mais aussi l’ombre d’une toison sous le tissu léger, rendu plus transparent peut-être par l’émotion et l’humidité qui l’accompagne… Les jambes. Ce n’est plus une jeune femelle gracile, mais elle est très sensuelle.
— Enlève tes chaussures !
— Enlève ton corsage !
— Enlève ton soutien-gorge !
Elle obéit, se prépare à retirer son dernier vêtement ; il ne demande pas, s’approche, pose sa main en coquille entre les cuisses légèrement entrouvertes. Indifférent en apparence au tressaillement de sa putain, il s’adresse à son amie :
— Elle disait vrai, elle est trempée, au-delà de ce tu peux imaginer. J’adore une culotte trempée, chaude sous la main.
Sehrazat pousse son bassin, presse son pubis sur la main qui s’est posée entre ses cuisses, elle sent qu’elle se met à mouiller encore un peu plus, elle gémit presque, ronronne silencieusement. « Quand ...
... va-t-il me prendre ? Qu’il me le mette enfin son membre ! »
Il retire le voile qui cachait encore en partie sa chevelure. Deux mains sur ses hanches, deux pouces qui se glissent sous l’élastique, des doigts qui prennent la ceinture de la culotte, la font descendre sur les fesses, les cuisses, l’homme se penche, plie les genoux, elle sent que son sexe se trouve progressivement à l’air. L’homme s’agenouille devant elle, la culotte descend sur les bas avec un léger crissement ; les tissus ne glissent pas sans que des fibres ne s’accrochent, légèrement. Quand sa culotte arrive sur ses pieds, elle les soulève l’un après l’autre ; presque entièrement nue, elle sent le visage de l’homme qui s’approche. Il respire le parfum de son sexe, l’odeur de son « âme ». Elle écarte les cuisses, elle attend, elle a envie de pousser ce visage contre son ventre, s’en empêche. Il pose un baiser sur la toison, il goûte la toison mouillée du bout de la langue. Elle frémit, avance encore le bassin, il pose ses lèvres sur des lèvres trempées, elle s’offre, écarte encore les cuisses, il respire cette odeur de chatte trempée. La pointe de sa langue glisse le long de la fente, il goûte, revient encore, excite un peu le clitoris. Insiste. Elle doit se retenir, elle le sait, il prend le clitoris gonflé entre ses lèvres. Elle frissonne et cette fois gémit sans retenue. Elle sent un flot qui l’inonde. Elle se retient de jouir. Autant qu’elle peut.
Il se relève. Elle le regarde. « Non, je ne peux pas ...