1. La jolie inconnue sous son voile


    Datte: 10/07/2018, Catégories: ffh, hplusag, vacances, fsoumise, hdomine, cérébral, Masturbation fsoumisah, Auteur: Ijokpl, Source: Revebebe

    ... ne me vouvoyez plus. Vous êtes mon maître pour une semaine, je suis à vous.
    — Je veux que vous compreniez bien ce que vous ferez, ce que je ferai, ce que vous supporterez… Avez-vous déjà laissé un homme vous sodomiser ?
    — Non, jamais…
    
    Elle semble moins sûre.
    
    Il pose ses mains sur ses hanches, sur sa taille, il les laisse descendre le long de ses jambes, s’empare du tissu de la jupe qu’il remonte, libérant progressivement les jambes, les cuisses, libérant maintenant les fesses, il se recule légèrement, regarde la croupe en partie masquée par la culotte. D’une main il caresse, flatte la croupe. Et il murmure encore :
    
    — Vous savez ce que j’aime… Je vais vous enculer, vous le savez, vous aller vous faire défoncer le cul. Vous y êtes prête ?
    
    Comme elle ne répond pas, il ouvre son pantalon, sort son sexe. Il bande, il prend la main de sa putain, la pose sur son sexe. Elle croit qu’il va la prendre à l’instant, l’enculer et commence lentement à le branler. Elle pose sa tête sur le bois de la fenêtre. Se cambre. Elle ferme les yeux. Il se penche sur elle, respire son parfum, arrête sa main.
    
    — C’est ça que tu vas recevoir dans ton petit cul.
    — Enculez-moi, défoncez-moi le cul… Mon cul est à vous.
    
    Il se recule, se rhabille, remet la jupe en place, donne une légère caresse sur les fesses, se penche de nouveau et murmure :
    
    — Quand je vous aurai prise pour la première fois, vous ne vous rhabillerez pas, vous vivrez nue, comme un animal domestique, vous serez une ...
    ... petite femelle, disponible pour le mâle. Vous ne vous laverez pas, sauf si je vous le demande. Vous vous tiendrez sur le canapé de cuir, votre panier en quelque sorte. Quand nous sortirons, vous ne porterez pas de culotte, ni de soutien-gorge, mais nous n’irons pas en ville pour ne pas vous exposer à une rencontre malheureuse. Je vous déshabillerai en rentrant.
    — Oui. J’obéirai.
    
    Il murmure plus bas encore, afin que son amie n’entende pas :
    
    — Ceçilya peut bien dire ce qu’elle veut, elle dormira peut-être avec nous. Elle ne sera pas insensible à ce qu’elle verra, à ce qu’elle entendra. Si je vous demande de la caresser, de lécher son sexe ou de lui offrir le vôtre, vous obéirez ? Vous ferez l‘amour avec elle devant moi ?
    — Je ferai tout, je vous obéirai.
    — À moi, vous m’obéirez à moi ?
    — Oui, vous êtes mon maître pour une semaine, je suis à vous.
    — Encore une dernière chose, vous ne pouvez jouir qu’avec mon accord.
    — Je sais, Ceçilya me l’a dit.
    
    Pendant qu’elle regarde encore dehors, les doigts de l’homme commencent à défaire les boutons du corsage lentement, se laissant le temps de caresser la peau de la poitrine, l’effleurant seulement. Puis sa main prend un sein, l’enveloppant à travers le soutien-gorge. Il embrasse le cou, se remet à défaire les boutons. Il dégrafe la jupe et la laisse tomber. Elle le laisse faire, elle tremble d’envie d’être prise. Il caresse ce corps qu’il découvre peu à peu. Corps de jeune femelle qu’il désire. Il caresse les fesses, les ...
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