1. La jolie inconnue sous son voile


    Datte: 10/07/2018, Catégories: ffh, hplusag, vacances, fsoumise, hdomine, cérébral, Masturbation fsoumisah, Auteur: Ijokpl, Source: Revebebe

    ... précise, les yeux dans les siens :
    
    — Si je vous demande si vous êtes en train de mouiller votre culotte, comme je pense que c’est le cas en ce moment – il change de ton – je ne vous demande pas de me répondre, mais plus tard, vous devrez le faire !
    
    Elle rougit violemment, son corps se tend, elle tire sur son voile, elle serre les cuisses, se penche en avant pour lui parler, ses seins frémissent sous le corsage. Elle le regarde, et déclare brusquement, en hachant ses propos, comme si elle devait mobiliser toute son audace, toute sa capacité de transgression pour chaque mot :
    
    — Je suis trempée, mouillée jusqu’à mes cuisses, mon ventre me brûle depuis que j’ai entendu le mot « putain ». Je rougis de ce que j’entends, de ce que je vais faire, j’en ai honte. Et plus je suis honteuse et plus j’en ai envie et plus je suis mouillée, ce n’est pas mon ventre qui me brûle, vous le savez !
    
    Elle vient de franchir la limite, elle vient entrer dan le jeu, sans jouer.
    
    — Dites-moi…
    — C’est ma chatte, mon con qui mouille et qui se tord, me brûle. Je serai une vraie salope parce que j’en ai envie, besoin… je veux appartenir à un homme, être prise, sentir son membre me pénétrer…
    — Alors on fait un marché, je vous prends, je vous donne plusieurs fois dans la semaine ce plaisir après lequel vous criez presque, en échange je dispose de votre corps, je dispose de VOUS pour mon plaisir : vous acceptez d’être une putain, de vous comporter comme une putain, MA putain, je ne vendrai ...
    ... vos services à personne.
    — Oui.
    — Si tu obéis maintenant, tu seras ma putain pour une semaine, une salope, je ferai de toi tout ce que je voudrai ; ton corps m’appartiendra pour mon plaisir. Avant de te lever, tu dois savoir que tu pourras m’arrêter en disant « STOP ». Maintenant tu choisis. Lève-toi et tu es à moi ! Lève-toi, va vers la fenêtre, regarde dehors, tourne-moi le dos.
    
    Elle obéit, moitié timide et honteuse, moitié déterminée ; elle se tient un moment debout devant lui encore assis, le temps qu’il la regarde, la détaille encore. Elle voit ses yeux qui l’examinent, ses cheveux sous son voile, ses seins encore, son ventre, à hauteur du pubis, puis les jambes. Elle reste immobile, il sait dans quel état elle est, elle n’a plus grand chose à cacher, et elle a tout donné. Elle va vers la fenêtre, sent le regard qui la suit. Elle a l’audace d’accroître un peu le balancement de ses hanches, se cambre un peu en marchant, offre ses fesses au regard. La fenêtre atteinte, elle reste immobile regardant dehors, sans faire attention, ses sens attentifs aux bruits de la pièce, tandis qu’il se lève, s’avance, s’approche, s’approche très près, assez pour qu’elle sente sa présence bien qu’il ne la touche pas. Il se penche, murmure à son oreille, revenant au vouvoiement.
    
    — Vous savez que je vais vous prendre entièrement, êtes vous prête ? Vous me devrez tout votre corps, sans restriction. Vous comprenez ? Avez-vous déjà pris un sexe dans votre bouche ?
    — Je suis votre putain, ...
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