La jolie inconnue sous son voile
Datte: 10/07/2018,
Catégories:
ffh,
hplusag,
vacances,
fsoumise,
hdomine,
cérébral,
Masturbation
fsoumisah,
Auteur: Ijokpl, Source: Revebebe
... qui se laisse détailler, supporte le regard qui la déshabille. Elle sent les yeux qui suivent ses jambes, effleurent ses seins, elle sent son corps réagir sous les yeux. Elle se demande si les pointes de ses seins qui se dressent sous le corsage, se voient. Elle sent aussi… C’est plus intime, invisible. Elle baisse les yeux, les relève, croise de nouveau le regard de l’homme, elle le soutient, sans le soutenir, sans l’affronter. Elle donne son regard.
Jacques éclaircit sa voix, regarde son amie, il est un peu troublé, davantage même qu’il ne le paraît. Il parle de Sehrazat devant elle, interrogeant son amie quand Sehrazat pourrait répondre :
— Elle sait comment je te considérais ? Comment tu te comportais ? Ce que je te demandais ? Ce que tu disais, ce que tu faisais ?
L’amie répond, sans détours, crue et, pendant la réponse, Jacques reporte son regard sur Sehrazat, observe ses réactions.
— Elle sera « ta putain » comme je l’ai été.
Sehrazat baisse les yeux, respire difficilement, ramène ses jambes sous son siège, elle se tasse, se replie ; soudain elle relève les yeux, cherche ceux de cet homme, redonne son regard, l’abandonne dans ses yeux.
— Pendant ta semaine ici, elle sera à toi, pour ton plaisir.
— Maintenant ?
L’excitation monte rapidement, son corps réagit à la perspective, aux mots de son amie…
— Quand tu veux.
— Et toi là-dedans ?
— J’ai dit à Sehrazat que lorsque je serai là, je regarderai, si j’en ai envie. Tu ne peux pas refuser. Je ...
... ne tiens pas à participer. Pour toi, je ne suis pas là dans ces moments-là, même si je regarde.
— OK.
— Sehrazat, vous confirmez ce que Ceçilya vient de dire ?
Rougissante, maladroite, timide et obscène, manifestement en proie, elle aussi, à une excitation croissante, elle le regarde. Jacques pense qu’elle est effrayée de son audace et en train de mouiller comme une folle ; elle parle, sa voix un peu tremblante prenant progressivement du volume, à défaut de prendre de l’assurance :
— Oui… Je… Oui, je le ferai… vous pourrez user de moi comme vous le voudrez, quand vous le voudrez !
— Je voudrais que nous soyons sûrs de ne pas nous méprendre, je vais vous dire ce que je comprends. Je vais vous vouvoyer tant que nous vérifions que nous nous comprenons bien ; quand je vous tutoierai, vous serez ma putain, sans délai. Si cela ne vous convient pas, nous pouvons arrêter tout de suite.
— Je serai votre putain, votre salope, c’est ce que m’a dit Ceçilya. Vous serez mon maître.
Elle rougit, répète :
— Je serai votre putain !
Dans sa bouche ce mot prend une résonance particulière, presque pudique. Elle parle français…
— Oui, vous serez ma putain. Vous oublierez toute pudeur, vous oublierez toute pudeur physique, mais vous perdrez aussi le droit au secret de vos pensées : vous devrez me les dire quand je vous les demanderai. Je saurai tout de vos pensées, de vos sensations, de vos réactions physiques les plus intimes, vous comprenez ?
Comme elle hoche la tête, il ...