1. COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. Le parchemin diabolique (23/23)


    Datte: 10/07/2018, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... taille standard. Lui en a une qui dépasse la norme, mais surtout dans sa longueur.
    
    Je vais pour sortir son gland de sa capuche.
    
    Aucun problème, pour la première fois, je vais sucer une verge circoncis, c’est drôle d’arriver à mon âge pour en trouver une.
    
    Il est vrai que jusqu’à l’achat de ma boîte diabolique à Martine, mes expériences sexuelles étaient limitées.
    
    Tout se passe comme si je rêvais au bord de ce torrent.
    
    Pas un mot de ma part, comme si par nos regards dans la journée tout avait été dit.
    
    Pas un mot de ma part, car j’arrive à lui faire une gorge profonde.
    
    Pas un mot quand je sens qu’il est proche d’exploser, j’aimerais sentir le goût de son sperme, mais j’en veux plus, je veux être à lui.
    
    Ma chatte malgré qu’elle baigne dans le torrent est de plus en plus en fusion, je suis chaude comme la braise.
    
    Je retrouve le plaisir très rare ces temps ci de mon excitation naturelle, comme du temps ou par ses caresses Benoît faisait démarrer mon corps.
    
    Un peu contrainte, je le libère, il a compris, il m’aide à me relever, nos bouches, nos langues ne font qu’une.
    
    Je me raccroche à toutes les sensations, finie l’amour sauvage, je me délecte de sa salive.
    
    J’arrive à sortir de l’eau sans me vautrer lamentablement, en cela il m’aide de ses bras ...
    ... puissants.
    
    Deux mètres en arrière et je sens l’herbe sous mes pieds.
    
    Je me laisse aller, il m’accompagne, naturellement, il entre en moi, j’entoure son bassin de mes jambes, le calmant.
    
    Je sens qu’il risque d’être un chien fou et que ce moment divin de la jouissance réciproque nous sera refusé.
    
    Alors quand je le sens calmé, étant au bord de ma propre jouissance en sentant sa verge appuyer sur mon clitoris, j’ouvre le compas de mes jambes.
    
    A-t-il compris, que j’étais prête ?
    
    Il reprend son rythme plus intense et dans cette fin de nuit magique, dans cet endroit insolite pour moi la Dijonnaise, nous avons un orgasme dévastateur.
    
    Il fait jour quand nous émergeons, par chance, personne ne semble bouger dans la grande maison.
    
    Un baiser, à part nos cris de jouissance, nous n’avons pas échangé un mot.
    
    De retour dans ma chambre, je me vautre sur mon lit, je porte ma main à ma chatte, récupérant le divin sperme que je porte à ma bouche.
    
    Je suis une femme heureuse et comblée, surtout quand je pense aux heures et aux jours prochains avec tous les rendez-vous que cette journée et cette nuit qui ont changé ma vie, va m’apporter.
    
    Je suis devenue adulte de mon corps ce jour et cette nuit-là.
    
    Je sais comment faire sans avoir besoin du parchemin, fut-il diabolique.
    
    Merci à Anne. 
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