COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. Le parchemin diabolique (23/23)
Datte: 10/07/2018,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
... apporté, j’ai envie de marcher, j’enfile mes mules.
Ma chambre est la dernière.
Je remonte le couloir.
Tient, là c’est Lucas qui besogne sa conquête, il aime parler, je vois qu’il évolue dans le bon sens, quand il dit à la jeune femme qu’il va lui défoncer sa rosette.
J’ignore si elle aime, j'adore.
Je passe devant la chambre suivante, aucun bruit, la suivante Aline et Loulou, tient, ils ont anticipé le week-end prochain, Alain semble baiser Aline et Loulou Odile.
Je suis contente et pour eux et pour moi. La semaine prochaine, nous aurons moins de travail pour nous mélanger et prendre du bon temps.
La suivante, je rigole intérieurement en entendant Christian et Corentin, j’ai l’impression d'une tierce personne que je n’ai jamais entendue est avec eux.
Ce qu’il a de sûr, c’est qu’ils jouent au petit train, qui fait la locomotive ?
Je crois que je ne le saurai jamais.
Porte suivante, tiens surprise, Louisa, Fabrice et deux jeunes voix, que je reconnais bien, Odile et Gilles.
Fabrice prépare-t-il sa retraite en cédant à ce jeune couple son restaurant ?
Anabelle a-t-elle fourni des chambres à mes amis ?
Je pense à quelque chose.
Certes le bus de Lucas était presque complet et des personnes à l’intérieur me resteront inconnues, mais le copain de Fabrice ne fait-il pas la locomotive avec Christian et Corentin comme je l’ai fait ?
Une nouvelle fois, sauf faire irruption dans leur chambre, je ne le saurai jamais.
Je sens que si je me ...
... couche, je ne dormirais pas.
Non pas en pensant que Benoît doit me tromper à Chazal, mais par la lourdeur de cette journée, j’ai été sur les nerfs pour que tout soit parfait ou tende vers le parfait.
Je souffle, Lison m’a bien aidée, en me montrant qu’il était possible de bloquer la deuxième fonction du parchemin que j’appelle diabolique en me montrant la pastille de cuir plus foncé.
Certes les invités dijonnais sont toujours là et j’espère que cela tiendra jusqu’à demain, retour de tous.
Mes pas me conduisent jusqu’au bord du Cusansin.
Je me suis baignée hier dans la source bleue, à l’endroit où je suis.
La lune profite du ciel sans nuages pour me faire voir une petite langue de sable.
Je fais tomber mon peignoir, ôte mes mules et entre dans l’eau.
Je me mets à genoux car la bande de sable est vraiment très étroite, je prends de l’eau et la fais couler sur mes épaules.
Contre toute attente, la sensation si connu démarre, ma chatte s’enflamme, le bordel va-t-il saisir les chambres ou tous se sont repliés.
Non, c’est une excitation normal, j’ai simplement envi de sexe.
Je frissonne, encore plus quand je sens des mains se poser sur les miennes.
Levant la tête dans la lune lui faisant comme une auréole, Salomon est là, il me contourne, comme moi il est nu, je lui prends la bite, il bande déjà.
Aucun bruit venant de l’hôtel, lui seul et moi sentent la frénésie du moment.
Pour un garçon si bien découpé, on s’attendrait à trouver une verge ...