1. COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. Le parchemin diabolique (23/23)


    Datte: 10/07/2018, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... infirmières.
    
    • Ma chérie, je te présente Cécile et Cécilia, mes deux assistantes infirmières quand j’opère.
    
    Je vois que vous avez rencontré deux doudous noirs, jumeaux, jumelles. J’espère que vous ne ferez pas comme moi, jeunes hommes, je n’ai jamais su qui de l’une ou de l’autre me passe les instruments, je les appelle mes doudous, rien de péjoratif dans ce mot.
    
    • Véronique, Benoît, on vous invite à venir quelques jours en vacances dès les premiers beaux jours à Toulon.
    
    Le club a mis à notre disposition une villa avec six chambres donnant sur la rade de Toulon.
    
    • Merci les garçons, dès que les beaux jours arrivent, nous mettrons au point ce séjour, bonne soirée.
    
    • Elle a bien commencé.
    
    Qui de Luc ou de Louis vient de répondre, qui de Luc ou de Louis enlace les deux doudous ?
    
    Ce que je sais, c’est que les deux garçons avaient une chambre tout comme les deux jeunes femmes.
    
    Partie carrée, ce qui ne m’étonnerait pas connaissant mes deux blacks, ou chaque couple dans sa chambre ?
    
    Je m’en fiche car Christian m’invite à danser pendant que Benoît a pris sa belle-fille dans ses bras.
    
    Attention, j’ai découvert que mon mari était un chaud lapin.
    
    Ne suis-je pas devenue une chaude lapine moi aussi, ?
    
    Mais il danse se souvenant que c’est sa bru, évitant de la serrer de trop prêt qui plus est enceinte.
    
    • Marraine, nous avons deux nouveaux au club venant d'horizons différents les jeunes puceaux.
    
    C’est con, lors des matchs ils ne sont pas ...
    ... concentrés sur le ballon, ils regardent les filles.
    
    • Tu veux que je vienne les dépuceler.
    
    • Tu as tout compris, c’est le capitaine qui te parle, surtout si avec Corentin nous pouvons toujours venir te voir entre midi et deux.
    
    Je suis d’accord, même si j’ai envie de lui ajouter, « si la place est libre », mais je suis une dame respectable et je me tais.
    
    Pourquoi aurais-je gardé ce parchemin, je suis capable de trouver chaussure à mon pied seule !
    
    Il est quatre heures quand les deux couples viennent m’embrasser, ils partent vers leur destin.
    
    Cette partie de la noce, c’est Martine qui l’a organisée en secret, eux seuls savent où ils vont passer leur nuit de noce.
    
    Certainement vers Beaume les Dames, je les regarde partir dans la voiture conduite par un chauffeur appartenant à l’organisation qu’Anabelle a mise à notre disposition afin d’éviter que quelqu’un conduise sous alcool.
    
    C’est à ce moment, alors que nous leur faisons signe de la terrasse, que je vois notre voiture suivre conduite par Benoît.
    
    Non, les mariés tournent à gauche, lui tourne à droite, vers les Alloz.
    
    J’ai le temps de voir une belle rousse à ses côtés, je pense qu’il retourne à Chazal regarder les estampes japonaises que Sylvie doit avoir chez elle en tant que peintre.
    
    Les uns et les autres montent se coucher.
    
    Je rejoins ma chambre, le vague à l’âme, c’est dans un bain chaud que je me délasse surtout les pieds.
    
    Il fait encore très chaud.
    
    Essuyée, j’enfile le peignoir que j’ai ...