1. L'enfoutreur (4)


    Datte: 10/07/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    ... ou pas, des rasés ou non du sexe, des couilles, du torse, de toutes les parties du corps. On entendait parler différentes langues, certains garçons jouissaient bruyamment comme s’ils eussent voulu prendre le monde à témoin de leur bonne fortune et de leur puissance, d’autres giclaient en émettant de sourds grognements. Leur affaire faite, se gars se précipitaient vers le buffet que nos trois domestiques, à poil et queues dressées réachalandaient entre deux saillies.
    
    Après avoir abondamment éjaculé, à tel point qu’en voyant la fente exsuder le sperme avant qu’il ne s’écoule franchement à gros filets je crus que d’autres garçons y avaient déjà déchargé avant, un militaire au fort accent de l’est demanda à un copain d’amener une femme pour lécher le jus qui s’échappait abondamment du sexe.
    
    Maguelonne se libéra de l’étreinte qui l’étouffait pour être la première à bénéficier de l’opportunité. Il faut dire qu’aucune autre femme ne s’y rua. Elle se mit donc à lécher passionnément la chatte de sa consœur qui en éprouva un plaisir bruyant et soutenu.
    
    Des hommes saisirent l’occasion pour se branler autour et j’en profitais pour me joindre à eux et me masturber vigoureusement pour lui gaver le gosier avec ma semence. Mais je ne produisis que quelques gouttes.
    
    Il était temps pour moi de partir.
    
    J’étais un peu déçu je ...
    ... dois dire. On m’avait finalement convié à une partouze s’en m’en prévenir et j’avais donné du mien pour une seconde improvisée où j’avais certes pris mon pied mais où je n’avais pas eu la vedette, étant noyé dans la masse. Mon orgueil souffrit de cette déloyale concurrence et je dus admettre en mon fors intérieur que mon activité d’enfoutreur était mue avant tout par le désir de flatter mon ego, de mettre en avant mes généreuses mensurations mais aussi une certaine maestria que je prétends avoir aux choses du cul, ce qui ne s’était pas passé au degré voulu ce soir. J’en tirai des leçons pour l’avenir.
    
    Pour lors, je filai à l’anglaise non sans avoir dérangé le baron qui avait profité de l’euphorie générale pour s’éclipser en douce avec deux légionnaires qui devaient probablement trouver plus avantageux de se taper un mec à deux qu’une fille à six.
    
    Quelques jours plus tard, Amédée-Jacques m’écrivit et me reprocha gentiment d’être ainsi parti comme un voleur et je reçus à peu près dans le même temps de mon notaire un avis me signalant que j’avais reçu un lot important d’actions des différentes sociétés d’Amédée-Jacques. Il y avait une lettre jointe.
    
    S’il vous plait, ne refusez pas ! Vous méritez plus que quiconque d’être coté... en bourses...
    
    J’appréciai le trait d’humour et passai à d’autres aventures.
    
    A suivre 
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