-
L'enfoutreur (4)
Datte: 10/07/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: yannlakeu, Source: Xstory
... remercier autrement qu’en vous priant de rester... en ami ? — Eh bien écoutez, je ne sais quoi dire... — Etes-vous capable de recharger vos batteries en deux heures ? — Généralement oui... — Bien. Nous allons tous prendre du repos et attendre la surprise que l’on nous prépare. — Soit. Alors j’attendis. Ce temps fut consacré d’abord à regarder Athanase terminer sa saillie. Les femmes furent priées d’aller faire une toilette, se recoiffer, effacer le maquillage qui avait coulé et sécher le sperme. Ensuite nous profitâmes de la table exceptionnelle de notre hôte. Enfin l’heure arriva dans l’excitation car ils n’étaient que deux dans la confidence, puis Gédéon qui dut aller ouvrir. Les femmes nues furent ramenées dans la pièce. Gédéon fit entrer un militaire. Je reconnus un officier de la Légion étrangère que le baron nous présenta comme un cousin qui précisément était avec ses hommes en entrainement dans un camp non loin de là pour parfaire leurs techniques de guérilla urbaine. Il était satisfait du travail de ses garçons et, à l’invitation du baron, avait proposé comme récompense pour ses hommes, une sortie avec des femmes disposées à tout. Sortie qui avait dû être approuvée par les autorités de tutelle compétentes auxquelles on n’avait cependant omis de livrer certains détails. Le temps de mobiliser un véhicule et ils étaient arrivés. Nous vîmes donc débarquer une trentaine de légionnaires qui jetèrent tous un regard vers les femmes à poils, ...
... certains portant immédiatement la main à leur braguette alors que d’autres nous regardaient avec curiosité, voire timidité, le lieu les impressionnant peut-être aussi. Les femmes s’étaient instinctivement reculées et regroupées, à l’exception de Maguelonne qui jetait déjà un œil vers ses montagnes de muscles. L’une d’elles s’inquiéta de savoir si ces solides gaillards n’avaient pas ramenés quelque saloperie d’un bordel quelconque, mais l’officier se porta garant de la bonne santé de ses hommes qui avaient peu vu de femmes les temps derniers et qui, de plus, s’étaient tous sortis à leur avantage des tests médicaux récents. Il n’y avait rien à craindre pas même une petite chaude-pisse. Ils obéirent sans difficulté à l’ordre de se foutre à poil, rangèrent soigneusement leurs treillis sur les côtés et se tinrent prêts. Au fur et à mesure, les carrures d’athlètes se dessinaient. Nous ne pesions pas grand-chose à côté de ces beaux bébés tatoués encore plus impressionnants qu’une équipe de rugbymen. Amédé-Jacques proposa juste un concours. Celui qui aurait la bite la plus grosse choisirait la femme qu’il voulait et ainsi de suite jusqu’au sixième. Chacun désignerait ensuite dans l’assistance masculine ses compagnons de baise et gagnerait 1000 €. Les soldats se tenaient droits, attendant les ordres et la saillie. Certains bandaient déjà et avaient du ml à se contenir devant les pouliches qui toujours ramassées dans un coin, et comme effrayées telle une pucelle avant sa nuit ...