L'enfoutreur (4)
Datte: 10/07/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: yannlakeu, Source: Xstory
Les époux se précipitaient donc sur la croupe de leur femme dès que je la libérais. Je ne les faisais pas attendre trop longtemps.
Il devint évident, aux propos échangés entre ces hommes, que tout avait été convenu entre eux et mis au point par Amédée-Jacques.
L’un disait par exemple à l’autre :
— Ne te l’avais-je pas dit que ta femme avait un petit cul bien serré ?
— Tu avais raison... quel délice ! Tu aurais eu tort de t’en priver !
— Meilleur que la mienne ?
— Je ne l’ai pas prise par-là !
— Ah je croyais, je confonds avec qui alors ?
Deux types répondirent favorablement.
Peu à peu, les maris quittaient leurs femmes pour aller voir ailleurs si le cul était meilleur. Les groupes se faisaient et se défaisaient, tantôt à deux à trois, à quatre, tantôt un homme restait seul avec une femme.
Maguelonne était sans conteste la plus dévergondée mais sa soif de sexe devint vite communicative.
Toutes désormais, elles prenaient les bites sans rien dire, et faisaient tout ce qu’on leur demandait.
Les gars étaient visiblement encore plus surpris et enchantés de ce qui se passait qu’ils ne l’avaient escompté et qui allait bien au-devant de leur désir.
Chacun voulait expérimenter ce qu’il me voyait faire ou qu’il avait vu faire par un autre groupe sans l’avoir déjà pratiqué lui-même. Si, par exemple, je calais ma bite entre les deux énormes loches d’une plantureuse poitrine, les gars essayaient ensuite de se le faire faire. De même, après la première ...
... double, d’autres suivirent et dès qu’une nouvelle position se développait, elle était immédiatement reproduite trois ou quatre fois.
Cependant, chaque mari, à l’instar de ce qu’avait fait Amédé-Jacques, qui éjacula le premier, se préoccupait de contrôler son orgasme pour ne pas jouir dans le cul de la belle mais à l’extérieur. Si notre hôte choisit de crémer la raie de sa femme et de demander à l’un de ses domestiques de s’en enduire le bout du nœud pour se le faire décrasser ensuite, les autres purent préférer expulser leur jus directement dans la bouche de leur épouse ou sur ses seins, tous les maris ayant convenu au préalable qu’ils arroseraient leur propre femme. Néanmoins on les sentait frustrés de cette décision et ils commençaient à se demander s’ils n’allaient pas très vite se revoir, voire prolonger la soirée, tant ils étaient satisfaits de leurs performances qu’ils avaient envie de généraliser aux femmes des copains.
Je fus frappé par la quantité de jute répandue. Ces gars-là ne devaient pas se purger les burnes tous les jours. Les jets étaient fournis et les tirs puissants.
Au bout de quelques minutes l’odeur de sperme se mêla à celle de la sueur car il faisait grand chaud.
Bientôt, tous les maris ayant vidé leurs couilles, il ne resta plus que nous.
Les cocus prirent donc une pause, se servant en champagne ou autres boissons, tout en nous regardant faire et en commentant nos exploits. Ils s’amusaient aussi de se voir complètement nus comme des ados ...