1. Douleur, je t'aime et tu me fais jouir


    Datte: 08/07/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: charime, Source: xHamster

    ... je me lassais de cette petite fessée presque insipide. Il m’en fallait plus.
    
    Je savais où les garçons se rendaient pour se rincer l’œil et se branler en regardant des films de Q. Des films qui racontaient des histoires que la plus part ne vivrait jamais autrement qu’en rêve. C’est un immense sex-shop aux abords de la ville. Si eux s’enfermaient dans la cabine vidéo et grillaient leurs tunes là-dedans, moi, c’est entre les rayons de ce petit supermarché du sexe que je me perdais. Peu à peu, je m’équipais. Un copain bricoleur, me fit la machine de mes rêves, ma fesseuse. Il n’en sut jamais l’utilisation que j’en fis et c’était mieux ainsi.
    
    Un week-end, après quelques essais plus ou moins fructueux, je m’attachais pour une nuit, réglant ma fesseuse à ce qu’elle m’empêche de dormir. La force réglée sur six, elle allait me fesser plusieurs fois pendant environ une dizaine de seconde avant de s’arrêter et de recommencer une quinzaine de minute plus tard. Attachée en croix sur le sol, la bougie en place, la ficelle et la clef aussi, je m’étais encore muselée l’aide d’un puissant adhésif. Sur le ventre, je fis vite la connaissance de ma machine à fesser. Ma vieille ceinture de cuir endolorit mon cul comme mon père. Ce fut une nuit partagée entre douleurs merveilleuses et orgasmes démoniaques.
    
    Au matin, la clef dans le creux de ma main, je restais encore sur le sol à me faire fesser encore un moment, pensant à mon père. Je restais si longtemps qu’au moment de devoir me ...
    ... soulager au plus vite, je ne suis pas parvenue à me délivrer à temps. Assise sur mes excréments, ma machine me cingla ma poitrine en me redressant. Là encore, ce fut une révélation. Il me fallut un bon moment pour me remettre de cette superbe émotion délicieusement douloureuse.
    
    Un an durant, au minimum une fois par semaine, je m’attachais et me faisait fesser, parfois avec un vibromasseur dans ma chatte ou mon cul et même parfois les deux ensembles. Libre, je me mettais à genou, inclinais ma fesseuse pour qu’elle me fustige ma poitrine. Je prenais des plaisirs immenses, endiablés et particulièrement violent.
    
    Ne pensez pas que je ne voyais aucun garçon, j’avais vingt ans et pour les mecs, il me fallait juste faire un geste et je n’avais que l’embarras du choix pour être baisée de partout pendant une nuit ou plus. Il me fallut croiser celui qui me refusa de coucher avec moi en me traitant de traînée. En fait, il n’avait pas tout tord, j’étais une traînée, pire, j’aurais pu devenir une pute en réclamant de l’argent à tous ces mecs qui me baisaient. Lui, je ne lui faisais aucun effet, il restait de marbre, du moins en apparence. Un soir, très classe, je lui ai sorti tout ce que j’avais en magasin pour le séduire. Autant dire que je me suis prise le râteau de ma vie. Alors qu’il sortait de ce bistrot, je l’ai suivi pour le traiter de tous les noms d’oiseaux et de bien d’autres qui feraient scandale dans sur ce site. Hors de lui, il me poussa dans un recoin à peine éclairé et là, ...
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