1. Douleur, je t'aime et tu me fais jouir


    Datte: 08/07/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: charime, Source: xHamster

    Cet histoire, je ne l’ai pas vécue, j’en suis juste celui qui noirci le papier, lettre par lettre, mot après mot. Elle ne veut pas donner son nom, encore moins son pseudo. Je respecte cela. Tout ce que je peux et veux vous dire sur cette femme, c’est qu’elle a un charme extraordinaire. Je ne suis là que pour vous conter un peu de sa vie. À partir de maintenant, ce n’est plus moi, c’est elle qui raconte à travers mes doigts.
    
    Depuis peu, je ne porte plus de culotte à proprement dit. Je ne porte qu’un harnachement de cuire et de métal. Le cuir en guise de ceinture et la chaîne en une sorte de cache-sexe. Cette chaîne, je peux la tendre ou pas. Généralement, au travail, elle est tendue à son maximum durant les 8 heures de ma journée. À part une personne dans le secret de mes fantasmes, personne n’est au courant de mes vicieuses petites habitudes. Pour mes seins, là encore, l’ossature est en cuir, le reste est métallique avec de méchantes pinces que je me force à me mettre sur mes tétons toutes les heures pendant l’heure suivante, soit une heure sur deux durant la journée.
    
    Mes nuits sont pratiquement pareilles. Je m’attache à mon lit, solidement menottée, je ne peux qu’attendre le matin pour me libérer avec cette clef qui tombe à 6 heures précise dans le creux de ma main droite. Après, c’est une petite séance de martinet que je m’impose avant d’aller me doucher à l’eau froide et un gant de crin très rêche. Cela, je le fais chaque jour, où que je sois, même en vacances ou en ...
    ... visite chez des amis. Personne ne m’a jamais forcé à le faire, mais il n’y a que ça qui me fasse jouir. J’ai 23 ans, petite, à peine plus d’un mètre cinquante pour à peine quarante kilos. L’ami dans la confidence, vous le connaissez sous le pseudo Charimarien. Mais il faut un début à tout ça, je commence donc par le commencement.
    
    La toute première que j’ai joui en ayant mal, c’est pendant une cruelle fessée que mon père m’administrait cul nu sous les regards de ma mère et ma grande sœur. Le simple fait de me sentir observée, la main de mon père qui laissait ses doigts titiller mon anus et mon sexe avaient fait que j’avais joui devant mes parents et ma grande sœur. Ma mère avait poussé ma punition à son paroxysme en m’obligeant à rejoindre le coin du salon à quatre pattes, le cul à l’air pendant que ma grande sœur m’insultait copieusement. Ce soir-là, je fus encore privée de souper. Ce fut la première fois et loin d’être la dernière.
    
    La dernière fois que mon père me punit, c’était le soir précédent mon anniversaire. Je sais que je n’avais commis aucune faute, aucun oubli. Mon père avait trouvé comme prétexte que j’avais grandi trop vite. Je l’ai pris de court cette fois-là. Je me suis posée sur ses cuisses, abaissant ma culotte et relevant ma jupe. Je l’ai regardé en le suppliant de me fesser aussi fort que possible. Pendant un petit moment, il avait sa main droite levée comme si elle était paralysée. Et puis, il y eu cette claque terrible et un autre et les suivantes. ...
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