1. Douleur, je t'aime et tu me fais jouir


    Datte: 08/07/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: charime, Source: xHamster

    ... Je regrette juste que ni ma mère, ni ma grande sœur ne fussent présentes. Plus je sentais mon cul prendre feu, plus je suppliais mon père de me fesser encore plus fort. Le summum de cette fessée fut quand son pouce tout entier entra violemment dans mon anus. J’ai senti mon corps se démembrer de plaisir. Le second orgasme surgit droit derrière le premier quand la main de mon père se plaqua contre mon minou en feu. Et le troisième m’acheva quand mon père enfonça son pouce dans mon anus et son index dans ma chatte. J’étais si épuisée que mon père m’emporta et me déposa sur mon lit. Je ne lui laissais aucune chance de m’abandonner en le retenant par sa ceinture. Très vite, je le branlais de mes mains sans expérience, il m’aspergea de son foutre tout mon visage et ma bouche grande ouverte de surprise. Ce fut la seule et unique fois que je fis jouir mon père. Il garde encore ce secret en lui, tout comme moi.
    
    Cela étant, quand je pris mon petit appartement en ville, un petit studio sans prétention, je me rendis vite compte que je n’avais personne pour me fesser. Seule, je ne parvenais pas à me lâcher suffisamment pour me faire réellement mal au cul. Parmi mes amis, je n’en voyais aucun avoir assez de couilles pour me fesser comme j’aime à l’être. Il me fallut tomber sur un reportage dans un magazine pour homme par le plus grand des hasards pour trouver le moyen de satisfaire mon appétit de fessée. Bien que j’y lise bon nombre de connerie, il y avait un paragraphe qui me mit ...
    ... sans-dessus dessous. Je l’ai lu si souvent que je le connaissais par cœur. Un jour de congé, j’allais acheter tout ce dont j’avais besoin. Le soir même, j’expérimentais une première technique à blanc. Ma montre à la main, je surveillais cette ficelle qui allait croiser la flamme d’une longue bougie. Sur un cahier, je reportais les résultats de mes expériences. Après deux mois, je testais sur moi tout ce que j’avais expérimenté.
    
    Sur le sol de mon studio, je me suis menottée dans le dos, juste mes mains, rien d’autre. Au-dessus, pendue à mon plafonnier, la ficelle, la bougie et la clef de mes menottes. La clef tomba dans le creux de ma main après une petite heure, expérience réussie. Et puis, de me sentir à la merci de cette bougie et de cette ficelle m’avait mise en émoi, m’obligeant à me masturber une fois libre.
    
    Mois après mois, je compliquais la chose, m’attachant de manière toujours plus sophistiquée, de plus en plus longtemps aussi. Attachée, je ne pouvais plus bouger. Je pouvais rester ainsi une bonne demi-journée quand tout fut au point. Mais mon irrépressible envie de fessée était la plus forte. Là encore, c’est un instrument de cuisine qui me donna la solution. Sur ce fouet électrique, je fixais ma petite ceinture de cuir clouté. Une fois l’appareil enclenché à la vitesse maximum, sur mon cul, la ceinture venait s’abattre avec assez de force pour que cela ressemble à une bonne petite fessée. Je pouvais maintenant vivre une petite partie de mes fantasmes. Cela étant, ...
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