1. Yasmina, princesse de l'Orient


    Datte: 07/07/2018, Catégories: fh, hplusag, jeunes, danser, amour, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, init, historique, Auteur: Jean-Marc Manenti, Source: Revebebe

    ... sous le tissu léger des voilages qui lui servaient de vêtement. À travers ces derniers, je les pris entre mes lèvres, puis les mordillai du bout des dents. Elle tressaillit, frissonna et, redressant la tête, m’embrassa avec passion.
    
    Je sentais la chaleur animale et la forme de son jeune corps s’imprimer contre le mien. J’étais excité, affolé et même un peu désemparé : Yasmina brûlait d’un feu que je n’avais jamais connu jusque-là. Elle gémissait tout bas, prononçant des mots incompréhensibles d’une douceur enivrante. Elle s’écarta doucement de moi.
    
    — Marcus de Jarnisie, je vais danser pour toi. Ensuite nous mangerons… Puis je t’offrirai ma virginité, mon corps, ma vie.
    
    Je n’eus pas le temps de répliquer. Elle recula vers le centre de la pièce et, d’un claquement de doigts, donna l’ordre aux musiciennes de jouer. Commença alors une mélodie harmonieuse, sensuelle, au rythme chaloupé. Le tout inspirait une sensation de grande volupté.
    
    Assis en tailleur au milieu des coussins, je contemplais Yasmina qui dansait. On eût dit que ses bras dessinaient des volutes dans l’air, que son nombril décrivait des arabesques, alors que ses hanches étaient agitées par une houle charnelle. Sa poitrine bougeait aussi, à contresens du reste du corps, comme si elle allait se disloquer. J’avais l’impression qu’elle se mouvait au ralenti, comme dans un rêve, mais que les différentes parties de sa personne étaient dissociées.
    
    De temps à autre, bien campée sur ses petits pieds nus, ...
    ... elle se penchait en arrière, sans cesser de se déhancher, tendant la peau brune de son ventre, faisant saillir ses seins vers le plafond. Le feu qui couvait dans mon bas-ventre embrasa brusquement tout mon corps.
    
    Soudain, la mélodie changea, le rythme se fit plus lent encore. La belle princesse, en larges gestes gracieux, fit planer un à un ses voilages dans la pièce. Bientôt, le sol dallé fut jonché de ses pièces de tissu. Maintenant, Yasmina dansait entièrement nue, plus langoureuse et voluptueuse que jamais. Sa peau brillait sous la faible lumière des dizaines de lampes à huile disposées ça et là, mettant en valeur les courbes sensuelles de son corps.
    
    L’image fugitive de la jeune fille que je clouais sous moi au sol passa devant mes yeux. Mon sexe était de plus en plus douloureux.
    
    Enfin, quand les derniers accords retentirent, la belle princesse se trouva devant moi, à genoux, les fesses sur les talons, totalement renversée en arrière, sa lourde chevelure étalée sur l’épais tapis d’Orient, totalement offerte à moi. Alors que je me penchais sur elle pour l’embrasser, les musiciennes s’éclipsèrent sur la pointe des babouches.
    
    Après un long baiser, j’ôtai ma tunique, la jeune princesse se serra contre moi.
    
    — Tu ne veux pas manger, noble Marcus ?
    — J’ai faim de toi, Yasmina, je brûle de désir !
    — Alors, noble étranger, je me donne à toi en pâture.
    
    Malgré mon sexe douloureux de tension, je parcourus des lèvres son corps à la peau brune, si parfumé, m’attardant ...
«1...345...14»