1. Yasmina, princesse de l'Orient


    Datte: 07/07/2018, Catégories: fh, hplusag, jeunes, danser, amour, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, init, historique, Auteur: Jean-Marc Manenti, Source: Revebebe

    YASMINA, PRINCESSE DE L’ORIENT
    
    ~ ACTE 1 ~
    
    Tout commença un jour de mai 1102, trois ans après le début de la première Croisade, alors que je séjournais avec Gildas, mon écuyer, dans une charmante palmeraie, à une vingtaine de lieues de Jérusalem, dans une région désertique. J’étais arrivé depuis un peu plus d’un an, avec les Templiers en croisade. Le Sultan Abdul al Rachid m’avait accordé l’hospitalité en tant qu’écrivain scientifique, comme il disait. Nous avions des entretiens réguliers et nous discutions de géographie, des us et coutumes des peuples arabes et de la religion musulmane.
    
    Ce jour-là donc, je quittai mes appartements pour me rendre dans le magnifique parc qui entourait le palais du Sultan, pour un de ces entretiens.
    
    Alors que j’empruntais le chemin menant au bouquet de palmiers où se tenait mon hôte, mon attention fut attirée par un brouhaha où se mêlaient cris et bruits de bataille, à quelques toises devant moi. N’étant pas soldat, j’étais simplement vêtu d’une longue tunique immaculée, sans cotte de mailles ni armure. Une épée légère ainsi qu’une fine dague pendaient à ma ceinture.
    
    On en voulait à la vie du Sultan. Je me précipitai et, d’un rapide coup d’œil, constatai que quatre hommes se battaient contre Abdul Al Rachid et son Grand Vizir.
    
    Au moment où j’arrivais sur le premier assaillant à ma portée, le Grand Vizir, malgré son imposant cimeterre, tombait, assommé par la lourde masse de bois maniée d’une main de maître par le brigand. ...
    ... J’abattis mon épée au hasard sur lui. L’homme, touché au thorax, se figea, resta immobile quelques secondes puis s’écroula sur la pelouse dans une gerbe de sang.
    
    Son complice, qui voulait visiblement achever le Grand Vizir assommé, fit volte-face et leva son sabre. Je fis un pas de côté pour l’éviter et frappai à mon tour. Malheureusement, ma lame se brisa sur la sienne. D’un coup d’épaule, le Berbère me jeta à terre. Comme il se précipitait sur moi en grimaçant de rage, le sabre levé, j’eus le réflexe de replier les jambes sur mon torse et le repoussai violemment des deux pieds. Mon assaillant fut soulevé du sol et projeté de côté. Il atterrit sur le banc de pierre où normalement j’aurais dû tenir conversation avec le Sultan. Gémissant, les reins brisés, il tenta de se remettre debout.
    
    Le Grand vizir qui, entre-temps, avait repris ses esprits, fit siffler son cimeterre dans les airs et la tête du quidam roula au sol.
    
    Le troisième homme était sur le point de passer le Sultan au fil de son sabre. Je me précipitai en dégainant ma dague et, d’un geste bref, enfonçai la lame effilée dans la gorge du bandit. L’homme s’enfuit en titubant. Plus tard, son corps, vidé de son sang, fut retrouvé dans un bassin de décoration.
    
    Quant au quatrième assaillant, il était encore aux prises avec le Sultan et tous deux roulaient dans la poussière. Le Grand Vizir et moi n’osions frapper, de peur de blesser le calife. Les lames étincelaient sous le soleil. Le bandit réussit à donner un ...
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