1. Yasmina, princesse de l'Orient


    Datte: 07/07/2018, Catégories: fh, hplusag, jeunes, danser, amour, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, init, historique, Auteur: Jean-Marc Manenti, Source: Revebebe

    ... commerçants ne me regardaient plus avec méfiance. Maintenant, on me saluait et certains, qui avaient quelques notions de français, engageaient même la conversation avec moi.
    
    "Bigre ! Que les nouvelles vont vite !" pensai-je.
    
    J’étais à peine de retour dans mes appartements qu’une armada de domestiques et d’esclaves fit irruption. On doubla le nombre de lampes à huile, on déposa des plateaux de nourriture et de fruits secs. On ajouta un grand tapis et de nombreux coussins. Comme dans les venelles du village, on me regardait avec une curiosité mêlée d’admiration.
    
    Quand tout ce petit monde se fut retiré, je m’assis en tailleur devant les victuailles et commençai à dîner. Sans que j’en sois averti, quatre splendides jeunes femmes munies d’instruments de musique s’installèrent, sans me jeter un coup d’oeil, à l’autre bout de la grande pièce. Soudain, le Grand Vizir entra, son imposant cimeterre au côté.
    
    — Noble étranger, voici la princesse Yasmina. Elle désire partager ton repas, m’annonça-t-il en s’inclinant.
    
    Puis il se retira discrètement. Je me levai pour accueillir mon illustre visiteuse.
    
    La jeune fille fit son entrée et s’arrêta à quelques pas de moi. Nous nous observâmes un instant. Une bouffée de désir monta du creux de mes reins. Elle était vêtue d’un pantalon bouffant, un peu resserré aux chevilles, fait d’un voile quasi transparent. Son ventre était nu, car seuls ses seins étaient recouverts d’un bandeau attaché dans le dos par un simple anneau, et du ...
    ... même tissu que le pantalon. Je ne pouvais quitter des yeux les formes sensuelles de ce corps magnifique, le bout sombre de ses seins, le triangle noir du pubis que je voyais en flou artistique au travers de son vêtement. Mon sexe était douloureusement tendu.
    
    Elle fit un pas en avant, se dressa sur la pointe des pieds et m’embrassa. Elle sentait le musc et l’ambre gris. Elle ouvrit la bouche et sa langue vint en jouant pointer entre mes lèvres et, instinctivement, je pris la jeune fille dans mes bras. Le tissu translucide de sa robe était si léger que j’avais l’impression de toucher sa peau nue. Elle me saisit la main et la porta à son sein. Elle avait un corps mince et musclé, les seins menus, fermes. La respiration de la jeune fille s’accéléra, révélant la montée de son désir.
    
    Un peu choqué, je sentis qu’elle glissait une main au bas de mon ventre, entre mes jambes… Sa petite main douce frôla mon sexe qui palpita entre ses doigts. Je caressai les seins offerts, en pinçai légèrement la pointe. Yasmina sursauta et s’écarta, haletante.
    
    — Je t’ai fait mal ? murmurai-je.
    — Non !
    
    Elle ne me quittait pas des yeux. Son regard brûlant de désir décuplait le mien. Malgré la pénombre, on voyait son visage rayonnant, épanoui. Elle se serra contre moi.
    
    — Caresse-moi encore, chuchota-t-elle en français, avec son délicieux accent. Plus fort !
    
    Quand je me penchai pour l’embrasser, elle se cambra en arrière, faisant saillir ses seins menus. J’en devinai les pointes dressées ...
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