1. Les vacances de Julie (8)


    Datte: 06/07/2018, Catégories: Trash, Auteur: Anonyme, Source: Xstory

    ... faire depuis quelque temps et j’avais osé. J’avais pissé sur ma chienne. J’avais pissé sur ma belle Julie. Les remords m’ont envahi presque immédiatement, j’ai eu envie de m’agenouiller et me faire pardonner. C’est ce que j’ai commencé à faire, je me suis agenouillé, j’ai retiré la culotte poisseuse de sa bouche poisseuse, et là, c’est un sourire que j’ai vu sur son visage. Si je m’en voulais personnellement, Julie n’avait visiblement rien à redire, sauf peut-être :
    
    — Merci Monsieur...
    
    — Merci pour quoi ? lui ai-je demandé, un peu surpris.
    
    — Pour l’orgasme. C’était trop bon.
    
    Tant pis pour les fluides divers et variés, je l’ai embrassée. Comment ne pas embrasser une fille qui vous remercie quand vous venez de l’avilir à ce point.
    
    J’ai ensuite pris Julie par la main, l’ai aidée à se relever, et nous avons été jusqu’à la rivière qui coulait à une vingtaine de mètres de là. Nous étions encore bien cachés, aussi nous n’avons pas remis nos “maillots”. Celui de Julie était de toute façon hors d’usage. Nous avons ainsi batifolé dans l’eau une bonne demie-heure, à nager, profiter de ...
    ... la fraicheur de l’Ardèche, se chamailler, s’embrasser comme des adolescents. De retour sur la berge, on s’est posés un instant pour sécher. Alors qu’elle était allongée nue sous le soleil de midi, les cuisses légèrement écartées, Julie m’a dit :
    
    — Je crois que j’ai quand même besoin d’une vraie douche.
    
    — Je comprends. Je vais nous trouver un camping où on pourra se poser un peu.
    
    — Cool ! J’adore le camping !
    
    Il ne nous en fallait pas plus pour reprendre la route. D’après Google, il y avait un camping à une dizaine de kilomètres. Il y en avait plein dans la région, mais celui ci avait un accès direct à la rivière, et je les avais appelés, ils avaient encore un petit mobile-home de disponible. Une rareté à cette période. Sur la route, brisant ainsi le silence, Julie m’a demandé :
    
    — Tu as aimé ?
    
    — Quoi donc ?
    
    — Me pisser dessus.
    
    Zut. Question piège.
    
    — A moins que ce ne soit pas ton cas, alors oui, j’ai aimé.
    
    — OK.
    
    — Tu as aimé ?
    
    — Oui, je crois. Tu pourras sûrement recommencer si tu veux.
    
    Elle s’est mise à sourire, mais moi, intérieurement, je jubilais. 
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