1. Les vacances de Julie (8)


    Datte: 06/07/2018, Catégories: Trash, Auteur: Anonyme, Source: Xstory

    ... pouvait voir chaque détail de son sexe. Cela n’avait pas l’air de la déranger, elle semblait même en être amusée. Allongée à mes côtés, elle profitait du soleil, les jambes ostensiblement écartées, le tissu de sa culotte épousant parfaitement la forme de ses lèvres. J’ai remarqué les regards d’un jeune couple passant près de nous. Il était impossible de ne pas remarquer Julie et sa tenue provocante.
    
    — Tout le monde te regarde, ai-je dit.
    
    — Je t’avais dit que ce serait presque pire, a-t-elle répondu en écartant un peu plus les cuisses.
    
    — Ça t’excite, je suis sûr.
    
    — Tu le saurais si ma culotte n’était pas déjà mouillée.
    
    Son clin d’œil ponctuant sa dernière phrase me laissait pensait qu’elle tentait de m’exciter. Elle y arrivait, bien sûr, comme d’habitude. Sa main qui, discrètement, caressait le haut de ma cuisse, me confirmait ce que je pensais.
    
    — Qu’est-ce que tu fais ? lui ai-je demandé. Tu cherches à réveiller le monstre ?
    
    — C’est pas juste que tout le monde puisse me voir à poils et pas toi.
    
    — Le monde est injuste ma chérie. Allez lève toi.
    
    — Pourquoi ?
    
    — Tu voulais voir le monstre ? Tu vas le voir.
    
    J’ai pris nos affaires en vitesse, puis j’ai pris Julie par la main, et nous avons suivi un petit chemin à travers les arbres et les herbes hautes. Quand le chemin s’est arrêté, nous avons continué à nous enfoncer dans la végétation sur une cinquantaine de mètres, et j’ai posé nos affaires à terre et poussé Julie contre un arbre. J’ai attrapé sa ...
    ... gorge de ma main gauche, tandis que la droite est allée se plaquer, sans détour, entre ses cuisses.
    
    — Enlève ta culotte et écarte les jambes, lui ai-je ordonné. Tu vas avoir ce que tu cherchais.
    
    — Oui Monsieur.
    
    Ses mains ont fait descendre le sous-vêtement en vitesse, que j’ai récupéré au sol. Il était encore trempé par l’eau de la rivière, mais je savais qu’elle n’y était pas pour rien non plus. J’ai frotté la culotte contre sa chatte, que j’ai trouvée déjà bien engluée par son plaisir. J’ai enfoncé le bout de tissu en elle, branlant son clitoris énergiquement pour l’imbiber au maximum. Je la sentais déjà faiblir, et je n’avais aucune intention de la faire jouir si facilement. Mon excitation aussi montait en flèche, et je sentais que je n’avais pas envie d’être tendre. Je serrais toujours mes doigts autour de sa gorge, la plaquant contre l’écorce rugueuse de l’arbre, et j’ai laissé sa culotte en place tandis que je m’amusais à claquer son clitoris, puis ses seins, puis à nouveau sa chatte.
    
    — A genoux, lui ai-je dis en lâchant enfin son corps.
    
    Julie s’est exécutée rapidement, et a ouvert la bouche dans la foulée. Bonne chienne. Tout aussi rapidement, j’ai fait jaillir mon sexe hors de mon boxer, et l’ai glissé d’un coup au fond de sa gorge. Julie s’est étouffée, a toussé dessus, tenté de le recracher un instant, mais je tenais fermement son crâne et ne comptais pas la lâcher. J’ai commencé à aller et venir en elle, je sentais sa bave couler sur mes testicules, ...