1. Les vacances de Julie (8)


    Datte: 06/07/2018, Catégories: Trash, Auteur: Anonyme, Source: Xstory

    ... lui ordonnais de me regarder de ses yeux humides. J’aurais pu jouir en moins de temps qu’il ne faut pour l’écrire, mais je me suis arrêté avant. Sa bouche était poisseuse, ma queue aussi, alors je l’ai essuyée contre son visage. En glissant mes doigts entre ses cuisses, je me suis rendu compte que sa chatte était tout aussi poisseuse. J’ai retiré la culotte de son sexe, dégoulinante de mouille.
    
    Sans plus longtemps réfléchir, j’ai enfoncé le bout de tissu répugnant dans sa bouche. La grimace sur le visage de Julie était sans équivoque, le goût ne devait pas être des plus agréables. Je l’ai attrapée par les cheveux et l’ai faite avancer de quelques mètres à quatre pattes. Et je l’ai baisée, bestialement, plaquant son visage contre la poussière au sol. J’étais un animal. Mes mains attrapaient ses seins, les griffaient, puis son cul que je giflais de toutes mes forces, et son anus que deux doigts en envahi. Son corps m’appartenait. Et plus mon plaisir montait, plus je voulais m’en saisir. Avec une telle excitation, je n’ai pas été très endurant, je me suis retiré au bout de quelques minutes. Elle n’avait pas joui, mais après tout, les règles restaient les mêmes: elle ne pouvait jouir que lorsque je la sodomisais. Moi par contre, je me suis allègrement répandu sur elle. De belles traînées blanchâtres ont zébré son visage de part en part, dégoulinant de son menton, et souillant un peu plus le tissu rose qui dépassait encore de sa bouche. J’ai regardé le résultat, le souffle ...
    ... court. Julie était comme elle l’était à chaque fois après nos ébats: sale, perverse, belle et excitante à souhait. Malgré le sperme dans les yeux, elle me regardait avec son regard de chienne, son regard de chatte en chaleur. Et comme j’étais encore excité, malgré l’orgasme, il m’est venue une idée perverse. Encore une.
    
    — Mets toi à genoux, écarte les cuisses en grand et branle toi, je veux que tu te fasses jouir pour moi.
    
    J’ai entendu quelques grognements à travers le bâillon improvisé. Sûrement des remerciements, mais je n’en étais pas sûr. Sa main s’est immédiatement glissée entre ses cuisses, et je l’ai regardée se branler frénétiquement, enfonçant deux doigts dans sa chatte, triturant son clito de l’autre main, ondulant du bassin comme si ce n’était pas suffisant. Une vraie chienne... Puis elle s’est mise à jouir. Elle aurait crié si elle avait pu. Moi je tenais mon sexe qui ramollissait lentement, et j’ai mis mon plan à exécution. J’ai hésité un instant, peut-être étais-je en train de pousser le bouchon trop loin, peut-être que j’allais brusquer ma belle et la faire fuir, peut-être que je signais notre arrêt de mort. Mais le monstre qu’elle voulait tant voir était déjà de sortie. Et puis c’était trop tard. Alors que l’orgasme la ravageait, moi je lui pissais dessus. Son visage, ses seins, tout son corps y est passé. Elle a bien essayé de se reculer un instant, mais s’est rapidement remise en place pour me laisser finir.
    
    Voilà, c’était fait. J’avais envie de le ...