Franc
Datte: 06/07/2018,
Catégories:
fh,
fplusag,
Collègues / Travail
Oral
pénétratio,
Auteur: Bertrand D, Source: Revebebe
... tentation, mais Martine se lève, vient se coller contre lui, saisit sa tête et lui fait subir un baiser torride. Résigné, mais excité, il s’abandonne à sa prédatrice. Elle le dépiaute à toute vitesse, jetant les habits tout autour d’elle. Les yeux fermés, il se remémore le dernier strip-tease qu’il a subi, tout en douceur par celle qu’il aime. Il se retrouve tout nu, le mât dressé.
Alors la colère le prend, il va jouer son jeu. Se jetant sur elle, il la met nue en rien de temps. Elle lui facilite le travail. Lui prenant la tête à deux mains, il lui présente son sexe. Elle ouvre grand la bouche, le prend bien au fond de la gorge avec une technique qui indique une longue pratique. Malgré la tension, il ne ressent aucune approche du plaisir. Saisissant les cheveux il la baise en bouche, s’agitant de plus en plus rapidement, mais toujours sans effet. Jetant le corps à plat ventre en travers de l’accoudoir du canapé, il la pénètre violement, trouvant à sa grande surprise un sexe ruisselant. Il la perfore de toutes ses forces, elle crie son bonheur, mais, malgré tout, pour lui, rien ne vient. Alors il sort sa queue, remonte jusqu’au trou brun et s’enfonce doucement mais fermement. La corolle s’ouvre sans peine et les cris de joie s’amplifient. Fermant les yeux, il revoit le cadeau que lui a fait Sophie, et explose.
Il se dégage, réalise soudain son comportement. Lui, d’ordinaire assez timide, presque timoré auprès des autres filles, il vient de massacrer la meilleure amie ...
... de Sophie. Il ne sait comment s’excuser, cherche les mots.
— Quelle conne cette Sophie, tu es vraiment un mâle sensationnel. Jamais je n’avais joui comme ça et pourtant, crois-moi, j’en ai baisé des mecs.
La réaction de Martine le laisse stupéfait. Il s’attendait à se faire traiter de salaud et voila qu’elle en redemande ! Alors jouant le jeu, il lui jette d’une voix glaciale :
— Tu voulais que je te baise, je l’ai fait, tant mieux pour toi si tu as pris ton pied. Maintenant, prends tes fringues et tire-toi. Ne viens plus me faire chier, j’ai autre chose à faire.
— Bon, je pars. Mais quand tu seras en manque, appelle-moi !
Elle se rhabille rapidement sans même se laver, s’en va en chantonnant. Franc est stupéfait. Il avait lu ça dans des romans pornos, il pensait que les auteurs fantasmaient. Et aujourd’hui il constate que des filles comme ça existent. Toutefois, il préfère l’amour plaisir qu’il connaît avec sa propriétaire. Quelquefois, le lundi, quand elle sait qu’ils ne seront pas dérangés, elle le provoque. Un accord tacite existe : si elle l’accueille en jupe, la voie est libre pour tous les débordements. Franc a repris goût à la vie depuis qu’il n’a plus de soucis ni financiers ni sexuels. Son amour pour Sophie est en sommeil, il reste parfois plusieurs jours sans penser à elle.
Une nuit, on frappe à sa porte. C’est le gamin d’à coté, l’air affolé.
— Monsieur, venez vite, ma maman est malade, je ne sais pas quoi faire.
Il bondit en pyjama chez la ...