1. Vers 17 heures, elle quitte la chambre sur un dernier baiser


    Datte: 28/01/2018, Catégories: fh, hotel, Oral fsodo, hdanus, Auteur: Passeur de rêves, Source: Revebebe

    ... J’oscille quelques minutes pour cette petite branlette espagnole improvisée. Ses jambes repliées touchent mes fesses lorsque je me recule. Ses mains sur mes cuisses glissent sur mes fesses. Ses doigts inquisiteurs longent ma raie, s’arrêtant sur mon trou. Sous cette nouvelle caresse, j’arrête mes mouvements.
    
    M’embrassant toujours, elle met à nouveau son doigt à l’orée de mon tunnel, et doucement l’enfonce. Mon désir revient. Mon sexe durcit à nouveau entre ses seins. Je l’embrasse, courbé sur elle. Nos langues se battent encore dans un jus de salive au goût de stupre. Je me couche sur Séverine, mes mains caressent ses seins menus, pincent ses tétons, tirant des petits cris de mon amante. Elle me masse les omoplates, le dos, les fesses, lèche ma figure, mord mes oreilles, déchaînée. Nos cuisses s’entrechoquent, nos pieds luttent, nos sexes se frottent l’un à l’autre. Par moment je la pénètre, puis ressors aussi vite. Sa chatte est trempée, ma bite luisante la poignarde enfin, sans se retirer. Séverine crie de jouissance pendant qu’après quelques coups sévères j’éjacule encore, nos pubis collés, bouches jointes lèvres ouvertes, mélangeant nos souffles courts, nos corps moites de sueur. Quel bonheur intense !
    
    Nous sommes étendus côte à côte, mains unies.
    
    — Je ne me souviens pas avoir connu un tel plaisir, me dit-elle.
    — Moi non plus, pas aussi intense. Sans doute l’adultère y est-il pour quelque chose.
    — Cela faisait longtemps que j’avais envie de toi. En fait, ...
    ... depuis le premier jour où je t’ai vu.
    — Je ne sais si cela remonte à ce premier jour, mais il y a longtemps que tu me fais fantasmer.
    — Tu te masturbes en pensant à moi ?
    
    Ma confession la trouble-t-elle ? La gêne-t-elle ?
    
    — Oui, parfois. Ça te choque ?
    — Je me masturbe aussi en rêvant de faire l’amour avec toi. C’est cela qui est drôle. Au retour de ces deux dîners, j’ai dû aller dans la salle de bain pour calmer le désir qui était monté lors du repas. C’était tellement fort que j’ai dû me mordre pour ne pas hurler.
    
    Je m’allonge sur le côté en la regardant.
    
    — Moi aussi, j’ai été me branler dans le salon, c’est dingue !
    — Tu aimes les mots un peu crus, apparemment ? Tu fais cela aussi avec Charlotte ?
    
    L’évocation de Charlotte m’assombrit un peu. Elle le voit tout de suite.
    
    — C’est fait, me dit-elle. Il n’y a rien entre nous qu’une envie de plaisir à partager. C’est purement animal, enfin je crois. Il faut veiller à ce que cela reste ainsi. Cela m’a plu que tu me traites de salope.
    — Je ne sais pas ce qu’est une salope, mais ton soin pour t’habiller ainsi, ta façon de sucer, ton abandon pendant que je t’enculais, jusqu’à ce moment où tu as avalé mon sperme, cela me paraît être une attitude de belle salope qui aime la baise. Mes mots sortent en toute liberté de ma bouche.
    — Tu ne me croiras peut-être pas, mais je ne suis pas du tout comme cela avec Jules.
    — Tu baises souvent avec lui ?
    — Et toi avec Charlotte ? me répond-elle du tac au tac.
    — Parfois.
    — ...