1. Vers 17 heures, elle quitte la chambre sur un dernier baiser


    Datte: 28/01/2018, Catégories: fh, hotel, Oral fsodo, hdanus, Auteur: Passeur de rêves, Source: Revebebe

    ... luxure.
    
    Je reprends mes mouvements d’avant en arrière, doucement, puis plus vite. Séverine subit mes coups en gémissant, le buste collé à l’oreiller, sa main caressant son clitoris que j’imagine turgescent. Elle crie lorsque à nouveau elle jouit en s’affalant définitivement sur les draps, pantelante.
    
    Nous restons ainsi plusieurs minutes, moi toujours enfoncé dans son cul, couché sur elle. Bras tendus, mains jointes, nos corps s’épousent parfaitement, mes jambes posées sur les siennes, mes pieds jouant avec les siens. Nos bouches et nos lèvres s’embrassent malgré cette position peu académique pour le faire. J’adore pourtant l’embrasser ainsi, dans le coin de sa bouche, pleine de salive. M’approchant de son oreille, je lui glisse tout en lui léchant le lobe :
    
    — Je vais me laver et je reviens ; reste prête.
    — Reviens vite.
    
    Je me retire doucement, profitant du bruit vicieux de succion que fait mon sexe en sortant de son anus plein de sécrétions. Je bande encore pleinement.
    
    Dans la salle de bain, vu le prix que j’ai payé pour la chambre, j’hésite à me branler pour pouvoir plus tard profiter plus longuement de ma partenaire sans être gêné par une éjaculation que je sens à la limite de ma résistance. Mon désir de l’éclabousser de ma semence me fait résister et, le sexe toujours raide mais propre, je retrouve mon amante sur le lit. Elle est sur le dos, superbe. La chevelure blonde couvre presque l’oreiller, ses bras écartés ouvrent largement son chemiser où ses ...
    ... seins sont libres. Je note donc que pendant ma courte absence elle a ôté son soutien-gorge, mais conservé son chemisier. Tellement érotique… Elle a également enlevé sa jupe, mais pas son porte-jarretelles, ni ses bas, ni ses escarpins que j’avais entendus dans le couloir. Une jambe repliée, elle s’abandonne. Je l’admire ainsi.
    
    — Tu es superbe. Très belle.
    — Merci. C’était très, très bien.
    
    Je m’approche du lit et m’assieds auprès d’elle. Je caresse son buste, sa poitrine, lui pinçant doucement les tétons. Ma main descend vers son nombril. J’ai la jambe repliée sous moi, l’autre encore hors du lit. Mon sexe est tout près d’elle. Elle se penche et pose un baiser sur cette queue dressée vers elle. Sa langue joue avec mon gland, le léchant en l’enroulant. Elle crache un peu de salive qu’elle étale sur lui avant de le lécher encore. Je lui caresse les cheveux, le cou, la poitrine, roulant ses tétons sous mes doigts. Elle se met sur le côté et commence sa fellation.
    
    Je pourrais mettre une majuscule à « fellation », tant son application est grande. Je m’allonge le plus confortablement possible, le torse posé sur un oreiller, mes mains caressant toujours ses cheveux, les peignant de mes doigts qui parfois glissent jusqu’à ses lèvres pour y constater ce que je n’osais croire : sa langue léchant ma bite, épousant sa courbe, titillant mon méat. Elle embrasse ma hampe, les lèvres ouvertes, laissant sa langue chatouiller ma chair turgescente. Sa bouche gourmande m’engloutit ensuite ...
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