Vers 17 heures, elle quitte la chambre sur un dernier baiser
Datte: 28/01/2018,
Catégories:
fh,
hotel,
Oral
fsodo,
hdanus,
Auteur: Passeur de rêves, Source: Revebebe
... de mes lèvres que le bon usage ne l’aurait permis. Le soir, encore mal remis de mes émotions, alors que ma femme s’était endormie, je soulageai mon désir dans le salon, libérant mes fantasmes les plus fous avec une Séverine toute dévouée.
Cela dit, le surlendemain, revenu au calme de mon bureau, je ne pouvais pas imaginer que cela puisse en rester là. Nous – elle surtout – avions été trop loin pour que nous arrêtions ici notre relation débutante.
Le samedi suivant, vrai hasard du calendrier mondain, nous dînions encore ensemble chez d’autres amis. Séverine était cette fois-ci en pantalon noir, chaussée de ballerines assorties. Le début de la soirée se passa comme à l’habitude, comme si rien ne s’était passé huit jours auparavant. Bien que nous soyons encore assis l’un à côté de l’autre – pur calcul du maître de maison, bien ignorant de mes espoirs pourtant – aucun signe ne vint de sa part et je me gardai bien d’en envoyer, ne voulant pas brusquer les choses, et aussi par crainte d’un éventuel changement d’avis de sa part.
Après s’être rassise, ayant aidé la maîtresse de maison à débarrasser les hors-d’œuvre, elle était à nouveau à mes côtés. Je compris très vite son jeu. Elle s’était affranchie d’une nouvelle aide par cette action, et ainsi elle avait maintenant le reste du repas pour faire ce qu’elle désirait. Et cela ne tarda pas. Je sentis à nouveau rapidement son pied, sans la ballerine, frôler le mien, et comme la dernière fois remonter sur ma cheville par des ...
... mouvements appuyés et sensuels de va-et-vient qui eurent l’effet immédiat de me remettre en état d’érection maximale instantanément. Mon pied déchaussé rejoignit le sien, et à mon tour je caressai son mollet avec cependant la frustration de ne pas sentir le délicieux contact de la soie, car son pantalon était trop étroit pour remonter plus haut que la cheville.
De la même manière, à mon retour chez moi, je me terminai dans mon salon, mes fantasmes devenant des perspectives que je ne savais pourtant comment faire aboutir.
La réponse vint d’elle-même le mardi matin à mon bureau. Concentré sur un dossier de prêt complexe, je reçus un texto de Séverine. Je savais que c’était elle car j’avais enregistré son numéro, sans y associer toutefois une photo. J’aurais pu mettre un pied. Son « numtel » dans mon portable ne pouvait surprendre ma femme ; après tout, c’était une amie, au moins jusqu’à présent.
On ne pouvait être plus clair. Je réfléchis rapidement. Je savais qu’elle travaillait le jeudi, mais le mercredi j’avais des rendez-vous incontournables.
À nouveau, l’initiative – ou plutôt la réponse – me revenait. Pour l’initiative, j’avais quelques TGV de retard.
J’avais pris le nom de mon directeur des ressources humaines, par je ne sais quel idée subite.
Cet hôtel a l’avantage d’avoir un bar-salon où nombreux sont les promeneurs à venir flâner autour d’un café, et il serait facile de s’éclipser discrètement vers les chambres.
Et c’était fini. Je m’empressai de ...