1. L'été en short


    Datte: 06/07/2018, Catégories: fh, extracon, grosseins, vacances, Auteur: Juliano, Source: Revebebe

    ... frénétique dont j’ai été témoin.
    
    Le lendemain matin, Pierre et ma mère proposent à l’assistance d’aller faire le marché au village. Moi, ça ne me dit rien ; je vais aller tendre ma canne à pêche dans le petit bras de rivière situé non loin de la maison. Mon père propose de m’accompagner. Ma mère et Pierre emmènent donc les filles avec eux au village ; quant à Jeanne, elle reste à la maison, prétextant qu’elle doit s’affairer.
    
    Mon père me pose la main sur l’épaule alors que je suis en train de préparer mon matériel de pêche dans le jardin et me dit : « Fiston, pars devant, il faut que je jette un œil au niveau d’huile de la voiture ; je te rejoins. » Je fais mine de partir, mais au bout du parc je planque mes affaires de pêcheur du dimanche derrière un arbre et je rebrousse chemin le plus discrètement possible.
    
    Personne à l’horizon ; mon père et Jeanne ont disparu de mon champ de vision. Arrivé à proximité de la baie vitrée du salon, j’entends des murmures qui viennent de l’intérieur. Je me rapproche à pas de velours et je découvre au beau milieu de la pièce les deux amants debout, enlacés, qui s’embrassent goulûment. Jeanne a déjà le short baissé sous les fesses, et la vue de ses deux belles pommes blanches me colle instantanément une gaule de folie. Mon père les lui tripote avec gourmandise ; il ne perd pas une miette de ce cul sublime, tout en fourrant sa langue dans la bouche de Jeanne. Elle le repousse timidement un instant et lui dit : « On ne devrait pas ...
    ... faire ça ; si jamais ton fils revenait de la rivière pour une quelconque raison… » Mon père qui continue de la peloter lui répond : « Oh, ma chérie, tu me fais tellement bander… Je ne peux pas me retenir, il faut que je te fourre ! »
    
    Sans crier gare, il la pousse sur le canapé où elle se retrouve allongée. Il lui enlève son short vivement, se défait du sien sans attendre, laissant apparaître une trique hors norme, et s’allonge sur elle. Il écarte ses cuisses à outrance et la pénètre sans plus attendre. Elle pousse un petit cri étouffé et s’agrippe aux fesses de mon daron alors qu’il commence à la limer sans ménagement. Le son des gémissements de Jeanne et le bruit provoqué par les va-et-vient puissants qu’assène mon père à sa partenaire me font bander comme un taureau ; je ne peux m’empêcher de me masser le sexe à travers le short.
    
    Au bout de quelques minutes de ce traitement pour le moins bestial, mon père se redresse, demande à Jeanne de se positionner à quatre pattes, et l’enfile de plus belle en levrette sur le canapé confortable. Jeanne, la tête dans les coussins, se fait marteler par la pine de l’ancien qui, je dois l’admettre, a encore la santé. Il lui malaxe ses belles mamelles tout en la besognant comme un malpropre.
    
    La vue de cette belle femme, le cul à l’air, pilonnée par derrière avec pour unique rempart ses baskets aux pieds me met dans un état de folie. J’adorerais être à la place de mon vieux et m’envoyer cette belle femme infidèle et gourmande.
    
    Il lui ...