1. L'été en short


    Datte: 06/07/2018, Catégories: fh, extracon, grosseins, vacances, Auteur: Juliano, Source: Revebebe

    Il fait chaud, c’est le début de l’été.
    
    L’histoire se passe en Dordogne, dans les années 90.
    
    J’ai alors dix-huit printemps, et mes parents, ma sœur aînée et moi-même sommes venus, sur invitation d’un collègue de mon père, dans la grande maison de campagne de celui-ci.
    
    Un vaste terrain ombragé, une piscine, une terrasse pour une grande tablée, une baraque et ses nombreuses piaules ; bref, tout y est. Le propriétaire des lieux se nomme Pierre, sa femme Jeanne, et leur fille – qui, à quelques mois près a mon âge – Maude.
    
    Maude, je la vois pour la première fois en arrivant dans leur demeure. Elle est plutôt jolie dans sa robe à froufrous, les cheveux au vent. On se salue timidement alors que nos parents font la visite des lieux. Pour son jeune âge, elle est déjà galbée comme une femme ; ses seins semblent faire leur poids, et ses fesses sont bien rondes et fières comme deux demi-lunes rousses.
    
    Ma sœur commence à lui tenir la jambe, lui raconter ses turpitudes d’étudiante en lettres. De temps à autre, Maude me jette un coup d’œil en me souriant, l’air amusé par les monologues ininterrompus de la jeune femme.
    
    En tous cas, je suis d’entrée de jeu ravi par la présence de cette demoiselle dans la demeure, moi qui avais peur de m’ennuyer à mourir aux abords de cette Dordogne quasi-sauvage. Il faut dire que partir en vacances avec nos parents est un peu une obligation, et ce sera sûrement la dernière année que ma sœur et moi y céderons.
    
    Les jours passent. Le soleil ...
    ... ne cesse de cogner, on se baigne beaucoup ; Maude, ma sœur et moi passons les trois quarts des journées dans et au bord de la piscine. Nos parents, quant à eux, restent la plupart du temps à l’ombre autour de la table de jardin à refaire le monde, boire du rosé bien frais et semi-siester sur les chaises longues.
    
    Un soir, alors que les parents s’affairent à préparer le barbecue et que ma sœur et Maude sont parties au village, j’en profite pour passer un coup de fil à ma petite amie en me baladant dans le parc. Après avoir raccroché, je me décide à rejoindre les adultes sur la terrasse.
    
    En longeant la maison, je m’aperçois qu’une petite lumière émane du sous-sol ; cela éveille ma curiosité. La fenêtre est une petite meurtrière discrète, allongée le long du sol. Je m’accroupis sur la verdure derrière un buisson touffu pour jeter un coup d’œil. De nombreuses quilles de vin sont alignées là, sur des range-bouteilles en bois. Jeanne, la mère de Maude, entre alors dans mon champ de vision ; elle a dû descendre pour chercher le vin du soir. Elle porte une longue robe blanche que la lumière de la cave rend quasi-transparente, et en bon jeune homme en éveil, j’en profite pour me rincer l’œil de ma planque, d’autant que la mère de famille est bien gironde, avec des courbes assez affolantes.
    
    Une surprise de taille m’attend : une silhouette qui ne m’est pas inconnue s’approche de Jeanne qui est penchée sur les bouteilles pour faire son choix. Stupéfaction : mon père l’attrape par ...
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