1. L'été en short


    Datte: 06/07/2018, Catégories: fh, extracon, grosseins, vacances, Auteur: Juliano, Source: Revebebe

    ... les hanches. Elle se redresse, semblant surprise, mais se laisse embrasser dans le cou. Je suis sur le cul, incapable de réagir, j’ai envie de prévenir ma mère, Maude, tout le monde, mais je reste là, immobile et complètement déboussolé.
    
    Mon père a empoigné les gros seins de Jeanne et les pétrit sans ménagement alors que je vois qu’elle semble faiblement tenter de le raisonner. Enfin, vraiment faiblement, car elle frotte lascivement son beau fessier contre le bas-ventre de mon père alors que ce dernier n’en finit plus de jouer avec ses mamelles lourdes tout en lui mordillant la nuque.
    
    Malgré l’écœurement que provoque chez moi cette scène, il faut bien reconnaître que la vue de ce pelotage ne me laisse pas indifférent. Eh oui, je bande comme un ado en rut en voyant les gros seins déjà à moitié sortis de la robe et malaxés fiévreusement. Puis, sans crier gare, mon père fait se cambrer Jeanne qui prend appui sur le casier à bouteilles. Il trousse sa robe jusqu’au-dessus de la taille, fait descendre le string et commence à se débraguetter. Je n’en reviens pas : il va la baiser ! Il est maintenant en train de frotter sa queue contre les fesses de Jeanne qui écarte lentement les jambes, et d’un coup sec il entre en elle.
    
    Je suis là, allongé derrière un buisson, à mater mon daron en train de tringler la femme de notre hôte dans la cave à vin ; il n’y va pas de main morte : il la besogne comme un fou, lui assène des coups de boutoir bien costauds. Je n’entends rien, ...
    ... mais à voir le visage de la dame quand mon père lui tire les cheveux, elle a l’air de miauler copieusement. Ses gros seins ballotent en tous sens et ses fesses font des mouvements de vagues sous la puissance de la charge. Il pétrit ce cul magnifique tout en pilonnant la belle sans relâche, et ça n’a pas l’air d’être fait pour lui déplaire.
    
    Je suis partagé entre le sentiment d’injustice vis-à-vis de ma mère, la rage de voir cette scène peu équivoque, et l’excitation que provoque la vue de cette belle femme offerte et à moitié nue. Je vois mon père soudain se crisper, se tendre : il doit être en train d’éjaculer en elle, il déverse sa sève en levant la tête au ciel. Elle se retourne, offre sa bouche, et ils s’embrassent tendrement, langoureusement. La scène est intenable, et de plus j’ai mouillé mon short ; il va falloir que j’aille discrètement me changer. La mère de Maude remonte son string, se réajuste et prend une bouteille de vin avant de remonter. Mon père reste encore un moment dans la cave pour ne pas éveiller les soupçons. Je sors discrètement de ma cachette et entre sans bruit dans la maison par la baie vitrée entrouverte du salon, file à l’étage dans la chambre que je partage avec ma sœur, et change en vitesse de short.
    
    La soirée se passe ; tout le monde est réuni autour de la table, Maude et moi discutons assez peu, c’est surtout ma frangine qui meuble de ses blablas incessants. Dans ma tête défilent les images de la scène à laquelle j’ai assisté, cette baise ...